"Le grand défi de ce projet a surtout été de trouver un moyen de réunifier l'ensemble des bâtiments de la Samaritaine, qui pour l'instant, sont assez hétérogènes notamment sur la rue de Rivoli, nous a rappelé Yoshitaka Tanase, le représentant japonais associé à Kazuyo Sejima Kazuyo et Ryue Nishizawa, l'agence Sanaa. Et notre intérêt a été de réussir à créer une continuité spatiale à l'intérieur en organisant trois cours qui viennent se terminer par la verrière historique et qui commencent par deux cours plus contemporaines."
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Côté urbanisme, le cabinet d'architecte a beaucoup travaillé sur les façades existantes du bâtiment qui sont chacune marquées par "une époque avec une architecture particulière", notamment la façade de Jourdain en verre et en acier.