Les équipements techniques ne sont pas en reste : la production de froid est assurée par un principe d'évaporation d'eau où l'air qui passe à travers un échangeur humide est rafraîchi. Dans les espaces tertiaires, la ventilation est obtenue par des panneaux placés en sous-face de dalle. Le béton apporte l'inertie thermique voulue, tandis que les traitements acoustiques et l'éclairage sont intégrés dans les panneaux. L'absence de faux plafond libère une grande hauteur sous plafond de plus de 3 mètres. Les plateaux, d'une largeur de 18 mètres, permettent de disposer de bureaux en premier jour et d'une zone en second jour, occupée par les salles de réunion et les archives. Les matériaux ont été sélectionnés pour leur facilité d'entretien et leur faible niveau d'émission de COV, intégrant une grande part de matériaux biosourcés (dont 7.000 m² de parquets en chêne français ou 7.800 m² de plafonds en tilleul et merisier). Côté performances, le bâtiment atteint le "Très performant" du référentiel HQE, correspondant à une consommation énergétique inférieure de 30 % aux bâtiments réglementaires. Veolia a également obtenu la certification BREEAM "Very good".
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La première pierre de l'édifice a été posée en octobre 2014 par Antoine Frérot, lui-même, ouvrant un chantier de moins de deux ans mené par Bateg et CBC (deux filiales de Vinci). Au total, 143 entreprises (50 de premier rang et 93 de deuxième rang) ont été sollicitées pour mener à bien ce projet.
Qui est Estelle Brachlianoff, la nouvelle directrice générale de Veolia ?
