Pour la maîtrise d'oeuvre, il a malgré tout fallu conserver et magnifier le lieu, tout en tenant compte des contraintes imposées par ce monument soumis aux ABF. "Cette réhabilitation a eu quelques particularités. Connaissant l'identité et les atouts du lieu, ainsi que le cahier des charges de notre client, il a fallu incorporer tous ces éléments et trouver un équilibre", confirme Bérangère Jolivet.

 

 

Afin de préparer au mieux les travaux, des rencontres avec l'ABF ont été organisées en amont, de même que des visites du site ou encore des échanges de dessins. "Souvent, les ABF ont déjà leurs pré-requis mais nous cherchons à avancer de pair avec ce service de l'État, en commençant la concertation le plus tôt possible."

 

Idem avec les autres intervenants : "Quand on a des interrogations avant-projet, on fait aussi venir les entreprises avec lesquelles nous travaillons habituellement pour qu'elles nous donnent leurs conseils et avis techniques. Ainsi, lorsque le chantier démarre, on a déjà bien étudié le projet même si on sait qu'il y a toujours des surprises avec les travaux de réhabilitation", conclut l'architecte.

 

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