ÉLECTIONS LÉGISLATIVES 2024. Plusieurs anciens députés Renaissance parmi les plus impliqués sur les problématiques autour des mobilités et de leurs infrastructures ont été battus et ne siègeront plus à l'Assemblée nationale. Mais les acteurs du secteur retrouveront aussi certains connaisseurs de leurs dossiers, ainsi qu'opposants ou à l'inverse soutiens à de grands projets.


Les résultats du deuxième tour des élections législatives anticipées ont réservé quelques surprises, tout en confirmant un paysage politique désormais clairement tripartite. Le Nouveau Front populaire, rassemblant les forces politiques à gauche de l'échiquier politique, est arrivé en tête, avec quelque 180 sièges. Le parti présidentiel et ses alliés se hissent à la 2e position, avec 150 sièges. Le Rassemblement national, pourtant donné gagnant durant toute la (courte) campagne pour ces législatives, sera la 3e force politique, avec 125 sièges.

 

Cette recomposition politique, avec une ancienne majorité présidentielle perdant une centaine de sièges, s'est forcément faite au détriment de certaines personnalités qui ne retrouveront pas les bancs de l'Assemblée nationale. Et parmi elles, le secteur des mobilités et de leurs infrastructures perd des interlocuteurs faisant partie des plus engagés sur ses questions.
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