La scénographie invite le visiteur à refaire le parcours conduisant à la grotte, comme ont pu le faire les jeunes adolescents qui ont découvert Lascaux en cherchant leur chien. Entre les parois inclinées du chemin, on descend peu à peu vers la grotte. Entre le belvédère (toit terrasse) et la grotte, "c'est en quelque sorte un passage de la lumière à l'ombre", explique David Lambert du Conseil départemental de la Dordogne.

 

 

Ce chemin permet de descendre progressivement de 9 mètres de hauteur avec une pente de 12%. Peu à peu, l'espace se réduit, "on a une sensation d'oppression avant d'arriver dans la grotte", constate David Lambert. L'idée est vraiment de se mettre en condition avant d'accéder au temps fort de la visite.

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