De l'exigence, avant tout, clame la majorité des citadins, qui reconnaissent cependant le dynamisme de leurs élus en matière de mobilité urbaine, l'attente n°1 pour un citadin sur trois (31%). Suivent la qualité de l'air et les espaces verts (24%), l'urbanisme (21%), les équipements collectifs (15%) et la gestion des déchets (9%). Paradoxalement, ils se sentent faiblement concernés par les services et infrastructures plus innovants mis à leur disposition. Par exemple, plus de la moitié ignore les offres d'auto-partage mises en place dans leur ville.
Dans le domaine environnemental, les citadins ont des perceptions différentes : là où les Parisiens reconnaissent à 76% le dynamisme de leurs élus en matière d'éco-mobilité, les Marseillais ne sont séduits qu'à 28%, note l'étude. Un laissé-pour-compte : l'éco-quartier, qui souffre d'un réel déficit d'information.