Un chirurgien britannique en visite dans un hôpital ukrainien a troqué le matériel du bloc opératoire classique contre une simple perceuse sans fil, pour retirer la tumeur d’une patiente.
Les anglais sont décidément très bricoleurs. Après l’étude qui avait dévoilé que 6% des britanniques s’arrachaient eux-mêmes les dents et parfois avec leurs outils de bricolage, c’est un éminent neurochirurgien qui vient de faire la une, en opérant une patience à l’aide… d’une perceuse.
Henry Marsh, chirurgien de 58 ans dans un hôpital au sud de Londres, se rend en Ukraine deux fois par an pour y réaliser des opérations dans une clinique dirigée par l’un de ses confrères et amis. Lors de sa dernière visite, il a utilisé une perceuse sans fil pour ouvrir le crâne d’une patiente et en retirer une tumeur. Lors de ses opérations en Angleterre, le chirurgien utilise une perceuse médicale à air-comprimé, un équipement dont le cout s’élève à 38.000 euros, une somme trop élevée selon les médecins de l’hôpital ukrainien.
Henry Marsh, chirurgien de 58 ans dans un hôpital au sud de Londres, se rend en Ukraine deux fois par an pour y réaliser des opérations dans une clinique dirigée par l’un de ses confrères et amis. Lors de sa dernière visite, il a utilisé une perceuse sans fil pour ouvrir le crâne d’une patiente et en retirer une tumeur. Lors de ses opérations en Angleterre, le chirurgien utilise une perceuse médicale à air-comprimé, un équipement dont le cout s’élève à 38.000 euros, une somme trop élevée selon les médecins de l’hôpital ukrainien.
