Le bâtiment, qui n'est pas clôturé, est collé à un jardin et s'ouvre, par ses quatre façades, sur le quartier. Un parvis couvert a été aménagé et donne accès à l'équipement. "Il est en retrait de la rue et structure l'équipement public", estime l'architecte. "Pour des raisons de sécurité, il nous a été demandé d'appliquer une vitrophanie sur les vitrages", regrette toutefois Frédéric Quevillon, qui cherchait à permettre une "vraie connexion" avec l'extérieur.

 

Dehors, l'aménagement paysager a été imaginé de manière à révéler le bâtiment et les terrains de pétanque voisins. La pleine terre représente plus de 58% des espaces extérieurs. La parcelle compte 47 arbres, possède des zones ombragées et du mobilier urbain. Des cheminements s'enroulent autour de l'édifice. En outre, deux noues paysagères permettent la récupération des eaux pluviales.

 

 

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