Le séisme de mardi dernier survenu à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, pourrait coûter jusqu'à 6,3 milliards d'euros, selon l'estimation de AIR Worldwide, une société d'évaluation des dommages financiers pour les assureurs après une catastrophe.
La société AIR Worldwide estime, en effet, que les pertes pour le secteur de l'assurance, dues au séisme de mardi dernier, seront comprises entre 2,73 et 6,3 milliards d'euros.
En effet, «les routes et les ponts ont été endommagés par le phénomène de liquéfaction, qui se produit lors des tremblements de terre et qui réduit à l'état liquide certains sols, provoquant l'effondrement des bâtiments», a précisé AIR Worldwide. La société souligne aussi que le centre-ville mais aussi les banlieues ont été affectés par ce phénomène.
En effet, «les routes et les ponts ont été endommagés par le phénomène de liquéfaction, qui se produit lors des tremblements de terre et qui réduit à l'état liquide certains sols, provoquant l'effondrement des bâtiments», a précisé AIR Worldwide. La société souligne aussi que le centre-ville mais aussi les banlieues ont été affectés par ce phénomène.
Ce montant estimé des pertes couvrent les dommages infligés aux bâtiments commerciaux, aux logements assurés et à leur contenu. Sont également compris les coûts provoqués directement par l'interruption de l'activité économique.
Mais le montant estimé ne comprend pas les dommages aux bâtiments non assurés, aux voitures, aux terrains et aux infrastructures.
Le séisme de mardi a fait 75 morts et quelque 300 disparus selon le dernier bilan des autorités, fourni mercredi matin.