Pour l'éclairage, la lumière solaire s'estompant rapidement avec la profondeur, l'architecte prévoit d'utiliser la luciférine, substance bioluminescente, grâce à des organismes symbiotiques placés dans les vitrages. Tandis que pour l'énergie, il propose de créer au cœur des structures, des centrales "océanothermiques" exploitant la différence de température entre les eaux de surface et celles du fond pour produire du courant électrique. De même, la pression extrême s'exerçant à 1.000 mètres de profondeur permettra de séparer l'eau et le sel marin pour obtenir de l'eau douce par filtration au travers d'une membrane semi-perméable. Et pour les déchets ou le CO2 produits, ce sont encore des algues qui sont mises à contribution pour les dégrader et en retirer de nouvelles ressources.

 

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