La capitale portugaise va mettre en vente, dès le mois prochain, six palais des 18e et 19e siècles, qui devront être restaurés et transformés en hôtels de charme.
Le maire de Lisbonne a décidé de vendre une partie du patrimoine de la capitale, précisant toutefois qu' « il ne s'agit pas seulement d'aliéner notre patrimoine, mais de contribuer aussi à la diversification de l'offre hôtelière de la ville ». Lors de la présentation officielle du projet, Antonio Costa a également déclaré qu'il s'est donné pour ambition de « faire de Lisbonne la capitale du charme ».
Opération « charme »
Ainsi, ce sont 6 palais datant des 18e et 19e siècles, situés dans le cœur historique de la ville, qui seront vendus, « un par un à partir de février » et amenés à être restaurés et transformés en hôtels. Comme le souligne l'AFP, avec des mises à prix allant de 400.000 euros à 4 millions d'euros selon les bâtiments, l'opération baptisée « capitale du charme » devrait rapporter près de 13 millions d'euros à Lisbonne. Déjà criblée de dettes, la capitale a pourtant réduit ses dépenses de 30% au cours des deux dernières années. Encore insuffisant…
Les bâtiments restaurés devront subir des interventions plus ou moins lourdes, dans le respect de leur structure et des éléments décoratifs originaux. Au final, les établissements compteront de 15 à 40 chambres chacun. Face à l'intérêt de certains groupes hôteliers nationaux, la mairie n'exclut pas de vendre « plus tard » de nouveaux bâtiments.
Opération « charme »
Ainsi, ce sont 6 palais datant des 18e et 19e siècles, situés dans le cœur historique de la ville, qui seront vendus, « un par un à partir de février » et amenés à être restaurés et transformés en hôtels. Comme le souligne l'AFP, avec des mises à prix allant de 400.000 euros à 4 millions d'euros selon les bâtiments, l'opération baptisée « capitale du charme » devrait rapporter près de 13 millions d'euros à Lisbonne. Déjà criblée de dettes, la capitale a pourtant réduit ses dépenses de 30% au cours des deux dernières années. Encore insuffisant…
Les bâtiments restaurés devront subir des interventions plus ou moins lourdes, dans le respect de leur structure et des éléments décoratifs originaux. Au final, les établissements compteront de 15 à 40 chambres chacun. Face à l'intérêt de certains groupes hôteliers nationaux, la mairie n'exclut pas de vendre « plus tard » de nouveaux bâtiments.
