L'établissement Zoku propose 109 appartements, d'une surface minimale de 26 m², pensés pour des séjours allant d'une nuit à un an pour les travailleurs nomades. Ces habitations sont à la fois des lieux de vie et de travail, et bénéficient de nombreux services et espaces partagés, dont une salle de sport et une cuisine ouverte. À l'accueil, un bar-restaurant accessible à tous ouvre sur une grande terrasse. Cette dernière offre des vues sur le paysage urbain et le tribunal judiciaire de Paris.
Les chambres ont été imaginées comme des bureaux privés, faits pour inviter des collaborateurs durant la journée. "Depuis la pandémie de Covid-19, on observe un immense gâchis de surface de bureaux dans le monde. Nous offrons ainsi des appartements flexibles qui rendent l'immobilier plus durable", estime Hans Meyer, cofondateur. "La circularité est l'ADN de Zoku. Notre entreprise donne vie à des bâtiments multi-usages", ajoute son co-fondateur, Marc Jongerius. "Le premier immeuble que nous avons investi, situé à Amsterdam, était un bâtiment existant qui avait bénéficié d'une réhabilitation."
à lire aussi
À Paris, la restructuration lourde d'un immeuble de grande hauteur démarre
