20 ans après que l'Italie ait renoncé au nucléaire, le nouveau ministre italien du Développement économique, Claudio Scajola, a indiqué jeudi que le pays allait s'engager dans la construction de centrales nucléaires de nouvelle génération.
«Lors de cette législature, nous poserons la première pierre pour la construction dans notre pays d'un groupe de centrales nucléaires de nouvelle génération», a annoncé le ministre lors d'un discours prononcé en présence du nouveau chef de gouvernement Silvio Berlusconi.
L'Italie a renoncé au nucléaire lors d'un référendum organisé en 1987, peu après la catastrophe du 26 avril 1986 à Tchernobyl en Ukraine, et a fermé ses quatre centrales nucléaires.
«On ne peut plus éviter un plan d'action pour un retour au nucléaire», a déclaré le ministre, rappelant qu'il s'agissait d'une promesse de campagne de Silvio Berlusconi. «Il n'y a que les centrales nucléaires qui puissent produire de l'énergie à grande échelle et de manière sûre, à des coûts compétitifs et dans le respect de l'environnement», a souligné Claudio Scajola. Il a promis de «reconstruire» les compétences de l'Italie en matière de nucléaire et notamment de «prévoir des solutions pour les déchets radioactifs».
L'Italie a renoncé au nucléaire lors d'un référendum organisé en 1987, peu après la catastrophe du 26 avril 1986 à Tchernobyl en Ukraine, et a fermé ses quatre centrales nucléaires.
«On ne peut plus éviter un plan d'action pour un retour au nucléaire», a déclaré le ministre, rappelant qu'il s'agissait d'une promesse de campagne de Silvio Berlusconi. «Il n'y a que les centrales nucléaires qui puissent produire de l'énergie à grande échelle et de manière sûre, à des coûts compétitifs et dans le respect de l'environnement», a souligné Claudio Scajola. Il a promis de «reconstruire» les compétences de l'Italie en matière de nucléaire et notamment de «prévoir des solutions pour les déchets radioactifs».