Internet donne un coup de fouet aux locations saisonnières en sécurisant les "cyberloueurs" grâce aux descriptifs qui permettent d'éviter une mauvaise surprise... et les heures d'épluchage des catalogues de vacances.
L'arrivée de l'euro, qui rend la comparaison des prix immédiate, a également été un facteur favorable pour les locations saisonnières réalisées par internet, estime la porte-parole de la Fédération nationale des agents immobiliers (FNAIM).
"Aujourd'hui, 80% des locations saisonnières se réalisent grâce à l'outil internet contre une moyenne de 60% l'an dernier", explique Guy Farjon, agent immobilier dans le Vaucluse. Internet a, selon lui, provoqué une véritable révolution dans le secteur: il y a encore trois ans "il fallait éplucher les journaux de la région choisie pour tenter de dénicher sa location".
Outre la rapidité, la toile a l'avantage de "sécuriser" le consommateur. Les images de la maison convoitée, les séquences vidéo à 360 degrés avec une visite virtuelle permettent de visualiser la location.
L'association de consommateurs UFC-Que Choisir et la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), les premiers à recevoir les plaintes des consommateurs, notent avec satisfaction l'absence de réclamations suite à une location contractée via internet.
L'autre avantage d'internet est sa capacité à franchir les frontières: la FNAIM souligne que plus de 49% des personnes qui surfent sur les sites immobiliers et s'intéressent aux locations saisonnières sont des étrangers.
En quelques années, les sites immobiliers se sont multipliés, faisant de ce secteur un de ceux qui a le plus profité de la généralisation de la toile. Aujourd'hui, sur les 8.000 adhérents de la FNAIM, 5.000 alimentent le site immobilier du réseau et 160.000 biens sont "en ligne", consultés par 380.000 internautes. Des progrès techniques vont permettre encore d'améliorer la qualité des descriptifs et surtout la visite virtuelle qui ne sera plus limitée aux biens de luxe, indique la FNAIM.
Auparavant limité aux villas luxueuses du bout du monde, le net s'est nettement démocratisé depuis un à deux ans: aujourd'hui, un vacancier cherchant une caravane ou un mobile home peut également trouver son bonheur sur le net.
"Aujourd'hui, 80% des locations saisonnières se réalisent grâce à l'outil internet contre une moyenne de 60% l'an dernier", explique Guy Farjon, agent immobilier dans le Vaucluse. Internet a, selon lui, provoqué une véritable révolution dans le secteur: il y a encore trois ans "il fallait éplucher les journaux de la région choisie pour tenter de dénicher sa location".
Outre la rapidité, la toile a l'avantage de "sécuriser" le consommateur. Les images de la maison convoitée, les séquences vidéo à 360 degrés avec une visite virtuelle permettent de visualiser la location.
L'association de consommateurs UFC-Que Choisir et la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), les premiers à recevoir les plaintes des consommateurs, notent avec satisfaction l'absence de réclamations suite à une location contractée via internet.
L'autre avantage d'internet est sa capacité à franchir les frontières: la FNAIM souligne que plus de 49% des personnes qui surfent sur les sites immobiliers et s'intéressent aux locations saisonnières sont des étrangers.
En quelques années, les sites immobiliers se sont multipliés, faisant de ce secteur un de ceux qui a le plus profité de la généralisation de la toile. Aujourd'hui, sur les 8.000 adhérents de la FNAIM, 5.000 alimentent le site immobilier du réseau et 160.000 biens sont "en ligne", consultés par 380.000 internautes. Des progrès techniques vont permettre encore d'améliorer la qualité des descriptifs et surtout la visite virtuelle qui ne sera plus limitée aux biens de luxe, indique la FNAIM.
Auparavant limité aux villas luxueuses du bout du monde, le net s'est nettement démocratisé depuis un à deux ans: aujourd'hui, un vacancier cherchant une caravane ou un mobile home peut également trouver son bonheur sur le net.
