Selon un sondage TNS Sofres/Logica qui vient d'être publié, les habitants de la région Ile-de-France se disent, entre autres, opposés à 61%, à la création d'un péage urbain pour limiter la circulation dans Paris, mais favorables à 82% à la vidéosurveillance dans les transports.
Six Franciliens sur dix, soit 61%, sont contre un péage urbain, 35% y sont favorables et 4% sont sans opinion, ce sont en effet, certains chiffres qui ressortent d'un sondage TNS Sofres/Logica, réalisé du 6 au 8 mars auprès d'un échantillon de 700 personnes inscrites sur les listes électorales.
Également interrogées sur une vidéosurveillance dans les transports en commun, ils sont 82% à être pour, 17% y sont opposés et 1% sans opinion. Quant à la vidéosurveillance dans la rue, les Franciliens sont plus partagés avec 63% pour, 36% contre et 1% sans opinion.
Le sondage a également porté sur la construction de tours de plus de 37 mètres de haut dans la capitale, chantier interdit depuis 1977. Les chiffres montrent que 76% y sont opposés, et 21%, y sont favorables.
Enfin, concernant le système des zones pour les transports en Ile-de-France (six zones actuellement), une forte majorité de Franciliens, soit 79%, souhaite «que l'on réduise le nombre de zones et les écarts de tarifs pour que ceux qui habitent loin soient moins pénalisés». Seuls 18% d'entre eux sont pour le maintien du système actuel «car c'est normal de payer plus cher lorsqu'on habite plus loin».
Également interrogées sur une vidéosurveillance dans les transports en commun, ils sont 82% à être pour, 17% y sont opposés et 1% sans opinion. Quant à la vidéosurveillance dans la rue, les Franciliens sont plus partagés avec 63% pour, 36% contre et 1% sans opinion.
Le sondage a également porté sur la construction de tours de plus de 37 mètres de haut dans la capitale, chantier interdit depuis 1977. Les chiffres montrent que 76% y sont opposés, et 21%, y sont favorables.
Enfin, concernant le système des zones pour les transports en Ile-de-France (six zones actuellement), une forte majorité de Franciliens, soit 79%, souhaite «que l'on réduise le nombre de zones et les écarts de tarifs pour que ceux qui habitent loin soient moins pénalisés». Seuls 18% d'entre eux sont pour le maintien du système actuel «car c'est normal de payer plus cher lorsqu'on habite plus loin».