L'édifice se situe en centre-ville, près d'autres équipements publics, tels que le conservatoire, le théâtre de la commune et la médiathèque Saint-John Perse. Il s'inscrit dans "la continuité de ces polarités urbaines avec une façade ouverte sur la ville en dialogue avec le parc Stalingrad adjacent. Nous voulions garder un ton doux et offrir un matériau pérenne à la ville", explique Frédéric Quevillon. "L'ouvrage est un monolithe minéral en relief et de ton pierre."
Un bandeau vitré se dessine le long des façades, apportant de la lumière naturelle à l'intérieur du site. Le rapport de l'échelle du bâtiment est d'un tiers de vitrage et deux tiers de bardage opaque. La façade beige, en préfabriqué béton, "est un clin d'œil à la couleur de la façade du bâtiment de service technique à proximité. Nous avons réfléchi à la teinte, au motif et au relief. Les rectangles en façade rappellent l'appareillage de pierres. Un rythme de trois bandes a été imaginé pour donner plus de légèreté à cette façade."
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