Dunkerque et sa communauté urbaine ont décidé de reconduire leur engagement dans l'opération «Réflexénergie», un partenariat avec EDF qui vise à encourager les travaux d'isolation thermique des logements.
La communauté urbaine de Dunkerque (CUD) a profité de la tenue des récentes Assises de l'énergie et du climat des collectivités territoriales pour renouveler son partenariat dans l'opération «Réflexénergie». Cette initiative, en partenariat avec EDF collectivités, est l'une des actions du Plan climat énergie territorial de la CUD et vise à limiter les émissions de CO2.
A l'instar du prêt à taux zéro lancé par le gouvernement dans le cadre du Grenelle de l'environnement, cette opération donne la priorité à la promotion des travaux d'isolation dans l'habitat. Plus spécifiquement, l'opération veut encourager les travaux d'isolation dans les logements individuels construits avant le 1er janvier 2000, et compte ainsi accompagner 1.200 réhabilitations avec de nouvelles aides et un fonds alloué de 500.000 euros.
A l'instar du prêt à taux zéro lancé par le gouvernement dans le cadre du Grenelle de l'environnement, cette opération donne la priorité à la promotion des travaux d'isolation dans l'habitat. Plus spécifiquement, l'opération veut encourager les travaux d'isolation dans les logements individuels construits avant le 1er janvier 2000, et compte ainsi accompagner 1.200 réhabilitations avec de nouvelles aides et un fonds alloué de 500.000 euros.
Le renouvellement de cette initiative engage la CUD pour trois nouvelles années. Lors de la première édition, la CUD avait effectué une thermographie aérienne infrarouge, avant de lancer en 2006 l'opération «Réflexénergie Dunkerque Grand Littoral», soutenue par EDF et doté d'un fonds communautaire. Sur la période 2006-2009, l'opération a permis d'accorder quelque 2.000 aides (équipements énergétiques y compris énergies renouvelables, isolation…), pour 1.130 réhabilitations thermiques déjà achevées. La CUD estime que cette première phase a engendré l'économie de 6,65 millions de kWh d'énergie et 1.560 tonnes d'émissions de CO2. La seconde phase prévoit d'éviter le rejet de 6.750 tonnes de CO2 sur cinq ans.
