RENOUVELABLES. C'est dans un contexte énergétique très tendu que le ministère de la Transition écologique a publié un arrêté relevant de 40% à 60% le niveau de prise en charge des coûts de raccordement des installations de production de biométhane aux réseaux de gaz naturel. Bien avant le déclenchement de la guerre en Ukraine, l'industrie gazière plaidait déjà pour une meilleure considération des gaz renouvelables.
Le 2 mars dernier, le ministère de la Transition écologique a pris un arrêté relevant de 40% à 60% le niveau de prise en charge des coûts de raccordement des installations de production de biométhane aux réseaux de gaz naturel. Classé parmi les gaz renouvelables, aux côtés de l'hydrogène et du "e-méthane", le biométhane permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) mais participe également de la stratégie énergétique de l'Hexagone, dans un contexte où le pays doit honorer ses engagements climatiques et où l'Europe doit faire face aux perturbations d'approvisionnement causées par la guerre en Ukraine.
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