Après le passage de la tempête Xynthia, qui a fait 53 morts les 27 et 28 février dans l'ouest de la France, les autorités s'apprêtent à annoncer cette semaine un plan de destruction de 1.300 à 1.500 maisons situées en zones inondables.
Les préfets de Charente-Maritime et de Vendée s'apprêtent à annoncer un plan d'envergure après le passage de la tempête Xynthia, les 27 et 28 février, qui a fait 53 morts. «Entre 1.300 et plus vraisemblablement 1.500 maisons devraient être déclarées inhabitables et vouées à la destruction après le passage de la tempête Xynthia», selon une information parue dans le JDD.
«Mais ce chiffre n'est pas complètement arrêté, il ne le sera que mercredi soir, à l'issue d'une réunion à huis clos qui se tiendra avec les maires et les habitants de La-Faute-sur-Mer et de l'Aiguillon-sur-Mer», a indiqué la préfecture de Charente-Maritime.
Selon le journal, «les services des préfectures et de l'Equipement planchent encore sur les cartes côtières pour définir et délimiter les derniers contours des zones rouges, territoires où plus aucune habitation ne pourra être construite».
Le journal affirme par ailleurs que les indemnisations s'élèveraient à 200 millions d'euros au total, soit environ 150.000 euros par maison en moyenne selon les premières évaluations.
Pour Xavier Machuron-Mandard, de l'association de victimes de la Faute-sur-Mer (Vendée), le chiffre de 1.500 maisons rasées peut être «vraisemblable», en fonction des critères choisis. «Est-ce qu'il est raisonnable ? Cela, c'est une autre question», a déclaré un propriétaire d'une résidence secondaire.
Lors d'une réunion samedi de l'association «Reconstruire Charron», les sinistrés de cette commune de Charente-Maritime avaient exprimé «impatience, fatigue, inquiétude», le classement des zones inhabitables devrait être révélé ce jeudi aux sinistrés.
«Mais ce chiffre n'est pas complètement arrêté, il ne le sera que mercredi soir, à l'issue d'une réunion à huis clos qui se tiendra avec les maires et les habitants de La-Faute-sur-Mer et de l'Aiguillon-sur-Mer», a indiqué la préfecture de Charente-Maritime.
Selon le journal, «les services des préfectures et de l'Equipement planchent encore sur les cartes côtières pour définir et délimiter les derniers contours des zones rouges, territoires où plus aucune habitation ne pourra être construite».
Le journal affirme par ailleurs que les indemnisations s'élèveraient à 200 millions d'euros au total, soit environ 150.000 euros par maison en moyenne selon les premières évaluations.
Pour Xavier Machuron-Mandard, de l'association de victimes de la Faute-sur-Mer (Vendée), le chiffre de 1.500 maisons rasées peut être «vraisemblable», en fonction des critères choisis. «Est-ce qu'il est raisonnable ? Cela, c'est une autre question», a déclaré un propriétaire d'une résidence secondaire.
Lors d'une réunion samedi de l'association «Reconstruire Charron», les sinistrés de cette commune de Charente-Maritime avaient exprimé «impatience, fatigue, inquiétude», le classement des zones inhabitables devrait être révélé ce jeudi aux sinistrés.