REPORTAGE. Un an après sa mise en œuvre, la Rep PMCB montre ses limites. Si son objectif fait consensus, le groupe Passenaud, acteur reconnu de la gestion des déchets dans l'ouest de la France, témoigne de nombreuses difficultés dans sa mise en pratique au quotidien. L'entreprise y croit pourtant, investit, et espère que des ajustements permettront de donner un coup d'accélérateur dans les mois à venir.


Le constat d'Aurélie Darras est sans appel : un an après sa mise en place, "la Rep PMCB ne fonctionne pas". Pourtant, la directrice QSE du groupe Passenaud n'imagine pas de retour en arrière possible. À la fois car l'enjeu environnemental est évident, et car le secteur a commencé à s'organiser. Mais sur le terrain, les difficultés sont nombreuses.

 

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Le gouvernement semble en avoir conscience et a lancé des discussions pour une "refondation" de la REP. Les équipes de Passenaud, elles, constatent directement ses difficultés au quotidien. Notamment sur le site de Notre-Dame-d'Oé, près de Tours, le premier et le plus important de son réseau adapté à la Rep PMCB.

 

Massification et tri sur chantier

 

Le groupe Passenaud est un acteur implanté dans les Pays de la Loire,
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