Le Prix darchitecture du Moniteur 2003, considéré comme la principale récompense française en matière architecturale, a été décerné, lundi 27 octobre, à larchitecte et urbaniste Yves Lion pour lAmbassade de France à Beyrouth.
Yves Lion est, en quelque sorte, un habitué de ce concours. Quelques années après avoir créé sa propre agence, il remporte en 1978 une mention spéciale du Prix de lEquerre dArgent pour son premier édifice public important, la cité judiciaire de Draguignan, dont la construction sera achevée en 1983.
Après avoir été plusieurs fois finaliste de lEquerre (en 1986, 1987 et 1988), il décroche le fameux prix en 1989 pour le Musée franco-américain de Blérancourt, qui sera également récompensé par le "Marble Architecture Arward" en 1993.
Toujours au chapitre des récompenses, Yves Lion recevra la Médaille dArchitecture décernée par lAcadémie dArchitecture en 1994 et le Grand prix national de lurbanisme en 2001.
Cette dernière récompense est particulièrement révélatrice de la démarche dYves Lion. A la fois architecte-urbaniste ou urbaniste-architecte, Yves Lion sintéresser autant aux bâtiments quaux questions urbaines. Ainsi, à Beyrouth, outre le bâtiment de lAmbassade dont nous reviendrons prochainement en détail lors de la remise officielle du prix, Yves Lion a travaillé dés 1994 sur le concours international pour la reconstruction des souks en centre-ville. En 1991, il réalisera le jardin de lAmbassade de France et du Centre Culturel de la capitale du Liban. Aujourdhui, Yves Lion poursuit son oeuvre sur lambassade en aménageant la place publique située juste devant le bâtiment primé.
Après avoir été plusieurs fois finaliste de lEquerre (en 1986, 1987 et 1988), il décroche le fameux prix en 1989 pour le Musée franco-américain de Blérancourt, qui sera également récompensé par le "Marble Architecture Arward" en 1993.
Toujours au chapitre des récompenses, Yves Lion recevra la Médaille dArchitecture décernée par lAcadémie dArchitecture en 1994 et le Grand prix national de lurbanisme en 2001.
Cette dernière récompense est particulièrement révélatrice de la démarche dYves Lion. A la fois architecte-urbaniste ou urbaniste-architecte, Yves Lion sintéresser autant aux bâtiments quaux questions urbaines. Ainsi, à Beyrouth, outre le bâtiment de lAmbassade dont nous reviendrons prochainement en détail lors de la remise officielle du prix, Yves Lion a travaillé dés 1994 sur le concours international pour la reconstruction des souks en centre-ville. En 1991, il réalisera le jardin de lAmbassade de France et du Centre Culturel de la capitale du Liban. Aujourdhui, Yves Lion poursuit son oeuvre sur lambassade en aménageant la place publique située juste devant le bâtiment primé.