Après avoir affiché des pertes records en 2001, la première briqueterie mondiale renoue avec les bénéfices sur le premier semestre 2002.
Le groupe autrichien a en effet annoncé un triplement de son bénéfice net à 44,6 millions d'euros au premier semestre, contre 14,5 millions d'euros au premier semestre 2001. Le chiffre d'affaires a augmenté de 7% à 799,3 millions d'euros.
Dans son communiqué, Wienerberger a jugé "excellents" ces résultats obtenus dans un contexte difficile. "Malgré un environnement opérationnel difficile, le groupe a enregistré une amélioration sensible de ses profits au premier semestre. C'est un résultat direct de la mise en oeuvre rapide et cohérente des mesures de restructuration et d'optimisation décidées en 2001", écrit la direction du groupe.
Les profits ont augmenté dans tous les pays où le groupe est présent, mais le principal facteur d'amélioration a été l'activité briques sur le marché allemand, où des fermetures d'usines en 2001 ont permis à la fois de réduire les coûts et d'augmenter les tarifs.
"Les indicateurs de rentabilité pour les six premiers mois ont approché ceux atteints lors de l'année record 2000", indique le groupe.
Wienerberger, qui réalise 70% de son chiffre d'affaires dans la brique, et emploie plus de 10.000 personnes en Europe continentale et Amérique du Nord, avait enregistré sur l'exercice 2001 une perte nette historique de 17,8 millions d'euros.
Dans son communiqué, Wienerberger a jugé "excellents" ces résultats obtenus dans un contexte difficile. "Malgré un environnement opérationnel difficile, le groupe a enregistré une amélioration sensible de ses profits au premier semestre. C'est un résultat direct de la mise en oeuvre rapide et cohérente des mesures de restructuration et d'optimisation décidées en 2001", écrit la direction du groupe.
Les profits ont augmenté dans tous les pays où le groupe est présent, mais le principal facteur d'amélioration a été l'activité briques sur le marché allemand, où des fermetures d'usines en 2001 ont permis à la fois de réduire les coûts et d'augmenter les tarifs.
"Les indicateurs de rentabilité pour les six premiers mois ont approché ceux atteints lors de l'année record 2000", indique le groupe.
Wienerberger, qui réalise 70% de son chiffre d'affaires dans la brique, et emploie plus de 10.000 personnes en Europe continentale et Amérique du Nord, avait enregistré sur l'exercice 2001 une perte nette historique de 17,8 millions d'euros.