Après affiché une perte historique en 2001, le premier industriel mondial de la brique a annoncé un bénéfice net de 85,9 millions d'euros en 2002.
Dans un communiqué présentant ses résultats définitifs pour l'exercice 2002, Wienerberger a confirmé une progression de 129% de son résultat d'exploitation (Ebit) en 2002, à 151 millions d'euros contre 66 millions d'euros en 2001. De son côté, le chiffre d'affaires s'est accru de 7% au cours de la période sous revue, à 1,654 milliard d'euros.
Le groupe a jugé ces résultats "extrêmement satisfaisants dans un contexte économique difficile" et a souligné qu'ils étaient le résultat d'une restructuration "rapide et cohérente", menée notamment en Allemagne.
Pour 2003, Wienerberger prévoit une hausse de son résultat opérationnel supérieure à 10%, malgré un environnement défavorable. Il justifie ces prévisions par l'intégration dans le groupe de deux entreprises, Koramic Roofing Systems (tuileries) acquise en janvier et Hanson BCE.
Wienerberger table sur une croissance de la demande en Europe de l'est, notamment en Hongrie, République tchèque et Slovaquie, et annonce qu'il va continuer à se concentrer sur le métier de la brique de construction.
Wienerberger, qui réalise plus de 70% de son chiffre d'affaires dans la brique, emploie plus de 11.000 personnes en Europe continentale et Amérique du Nord.
L'entreprise avait enregistré en 2001 une perte nette historique de 17,8 millions d'euros qu'elle avait justifié par la crise du secteur du bâtiment en Allemagne, son principal marché.
Le groupe a jugé ces résultats "extrêmement satisfaisants dans un contexte économique difficile" et a souligné qu'ils étaient le résultat d'une restructuration "rapide et cohérente", menée notamment en Allemagne.
Pour 2003, Wienerberger prévoit une hausse de son résultat opérationnel supérieure à 10%, malgré un environnement défavorable. Il justifie ces prévisions par l'intégration dans le groupe de deux entreprises, Koramic Roofing Systems (tuileries) acquise en janvier et Hanson BCE.
Wienerberger table sur une croissance de la demande en Europe de l'est, notamment en Hongrie, République tchèque et Slovaquie, et annonce qu'il va continuer à se concentrer sur le métier de la brique de construction.
Wienerberger, qui réalise plus de 70% de son chiffre d'affaires dans la brique, emploie plus de 11.000 personnes en Europe continentale et Amérique du Nord.
L'entreprise avait enregistré en 2001 une perte nette historique de 17,8 millions d'euros qu'elle avait justifié par la crise du secteur du bâtiment en Allemagne, son principal marché.