Selon l'AFP, le groupe autrichien de matériaux de construction Wienerberger, numéro un mondial de la brique, a annoncé mardi une chute de 65% de son bénéfice net, à 103,3 millions d'euros, en raison de la crise, et a confirmé tabler sur une nouvelle dégradation en 2009.
Ce recul est moins important que celui redouté par les analystes, qui tablaient sur une baisse de 75% du bénéfice net. Il avait atteint le montant record de 261,4 millions en 2007.
L'an passé, le résultat opérationnel (ou EBIT), qui est quasi équivalent au résultat d'exploitation dans le système comptable français, a reculé de 32% à 239,8 millions et le CA de 2% à 2,430 milliards. Wienerberger a précisé qu'il ne verserait pas de dividendes afin de préserver sa trésorerie. Le groupe avait versé 1,45 euro par action pour 2007. Ce mardi, et dans un marché orienté à la baisse, l'action du groupe perdait 0,36% à 5,48 euros à la Bourse de Vienne.
Le groupe, qui emploie 15 200 personnes dans 26 pays, a précisé s'attendre pour 2009 à une nouvelle dégradation des conditions de marché, notamment en Europe occidentale et aux Etats-Unis, il espère toutefois un maintien de l'activité dans certains pays comme la Pologne, la République tchèque, la Slovaquie, la Bulgarie et les Balkans. Wienerberger a déjà fermé 27 sites de production sur 245 en 2008 et veut en fermer une vingtaine de plus cette année.
L'an passé, le résultat opérationnel (ou EBIT), qui est quasi équivalent au résultat d'exploitation dans le système comptable français, a reculé de 32% à 239,8 millions et le CA de 2% à 2,430 milliards. Wienerberger a précisé qu'il ne verserait pas de dividendes afin de préserver sa trésorerie. Le groupe avait versé 1,45 euro par action pour 2007. Ce mardi, et dans un marché orienté à la baisse, l'action du groupe perdait 0,36% à 5,48 euros à la Bourse de Vienne.
Le groupe, qui emploie 15 200 personnes dans 26 pays, a précisé s'attendre pour 2009 à une nouvelle dégradation des conditions de marché, notamment en Europe occidentale et aux Etats-Unis, il espère toutefois un maintien de l'activité dans certains pays comme la Pologne, la République tchèque, la Slovaquie, la Bulgarie et les Balkans. Wienerberger a déjà fermé 27 sites de production sur 245 en 2008 et veut en fermer une vingtaine de plus cette année.