Après avoir franchi le seuil des 15% le 7 novembre dernier, la société d'investissement vient encore de grimper au capital de l'entreprise de matériaux de construction. Wendel détient désormais indirectement 16,56%.
Depuis le 13 novembre, Wendel détient indirectement «61.947.819 actions Saint-Gobain représentant (...) 16,56% du capital et 15,79% des droits de vote», selon un avis de l'Autorité des marchés financiers (AMF) paru mardi.
Depuis son entrée au capital de Saint-Gobain au mois de septembre, Wendel ne cesse d’augmenter de grimper. Le 7 novembre dernier, la société d’investissement avait franchi les 15% du capital. Dans le cadre de cette opération, le groupe avait mobilisé 1,4 milliards d’euros.
A cette époque Wendel déclarait dans un communiqué avoir «engagé une discussion avec la Direction générale de Saint-Gobain, sur le potentiel industriel et les axes stratégiques du Groupe» avant d’ajouter vouloir «poursuivre le dialogue amical et constructif pour s’assurer de la convergence de points de vue sur la stratégie et les conditions de sa mise en œuvre». La société disait également vouloir «examiner l'éventualité de sa participation au Conseil», et réaffirmait qu’elle n’avait pas «l’intention de prendre le contrôle de la société».
Depuis son entrée au capital de Saint-Gobain au mois de septembre, Wendel ne cesse d’augmenter de grimper. Le 7 novembre dernier, la société d’investissement avait franchi les 15% du capital. Dans le cadre de cette opération, le groupe avait mobilisé 1,4 milliards d’euros.
A cette époque Wendel déclarait dans un communiqué avoir «engagé une discussion avec la Direction générale de Saint-Gobain, sur le potentiel industriel et les axes stratégiques du Groupe» avant d’ajouter vouloir «poursuivre le dialogue amical et constructif pour s’assurer de la convergence de points de vue sur la stratégie et les conditions de sa mise en œuvre». La société disait également vouloir «examiner l'éventualité de sa participation au Conseil», et réaffirmait qu’elle n’avait pas «l’intention de prendre le contrôle de la société».
