Une discothèque «verte» a été inaugurée à Rotterdam (Pays-Bas). Objectif : réduire la consommation d'énergie et les émissions de gaz à effet de serre. De la piste à l'eau des toilettes, en passant par les verres des consommateurs… désormais, on peut danser écolo !
De l'architecture à la carte de l'établissement, la nouvelle discothèque écolo, qui a ouvert à Rotterdam, veut éveiller la conscience écologique de ses clients.
Parmi les innovations les plus intéressantes de ce concept, notons une piste de danse durable. Le principe ? La piste récupère l'énergie produite par les mouvements des danseurs sur le sol. Cette énergie est transformée en électricité et permet d'alimenter les spots. D'un coût d'installation estimé à 3.500 euros le mètre carré, le dispositif permet de produire entre 4 et 8 watts pour un pavé de 65 cm2, soit entre 400 et 700 W pour la piste de la discothèque (6 m2), peut-on lire sur le site humanvillage.com.
Rien n'est jeté, tout est utiliséCe club propose également de servir les consommations dans des gobelets recyclables, tandis que les chasses d'eau fonctionnent grâce à la récupération des eaux de pluie. Les boissons sont stockées dans de grands réservoirs au sous-sol du bâtiment, qui dispose d'un système de refroidissement central. Enfin, les aliments proposés sont issus de la production locale et de l'agriculture biologique.
Une initiative qui devrait se renouveler prochainement du côté de Londres.
Parmi les innovations les plus intéressantes de ce concept, notons une piste de danse durable. Le principe ? La piste récupère l'énergie produite par les mouvements des danseurs sur le sol. Cette énergie est transformée en électricité et permet d'alimenter les spots. D'un coût d'installation estimé à 3.500 euros le mètre carré, le dispositif permet de produire entre 4 et 8 watts pour un pavé de 65 cm2, soit entre 400 et 700 W pour la piste de la discothèque (6 m2), peut-on lire sur le site humanvillage.com.
Rien n'est jeté, tout est utiliséCe club propose également de servir les consommations dans des gobelets recyclables, tandis que les chasses d'eau fonctionnent grâce à la récupération des eaux de pluie. Les boissons sont stockées dans de grands réservoirs au sous-sol du bâtiment, qui dispose d'un système de refroidissement central. Enfin, les aliments proposés sont issus de la production locale et de l'agriculture biologique.
Une initiative qui devrait se renouveler prochainement du côté de Londres.