Désiré par Valéry Giscard d'Estaing, dessiné par l'architecte autrichien Hans Hollein, construit par Spie et financé à plus de 69% par la région Auvergne... le parc européen du Volcanisme a été inauguré mercredi 20 février avec quelque deux années de retard.
Construit sur un terrain de 57 hectares, ce musée "vivant" du volcanisme est le premier parc d'exploration scientifique français. Dés sa conception, l'ancien président de la République a souhaité imposer sa marque. Ainsi, c'est l'architecte autrichien Hans Hollein, imposé par VGE , qui l'a conçu alors que le jury avait choisit Jean-Miche Vilmotte qui avait fait travailler ses équipes durant deux mois et réaliser une maquette de 250.000 francs.
L'actuel président de la région Auvergne a donc préféré un projet aux trois-quarts souterrain, dont la construction s'intègre, semble-t-il, au site de la chaîne des volcans d'Auvergne,. Seul signe extérieur spectaculaire : deux demi-cônes de 28 m de hauteur recouvert de lave grise avec des parois intérieures en titane.
Imaginé et promu depuis une dizaine d'années parValéry Giscard d'Estaing, ce n'est qu'en juillet 1997 que les travaux de construction de Vulcania ont pu commencer sur ce qui était un ancien terrain militaire.
L'opposition des écologistes, hostiles au "bétonnage" du secteur, qui ont déposé un recours devant le tribunal administratif, puis l'effondrement en août 2000 d'une dalle de béton de 170 m2 sur le site des travaux, ont conduit au report de l'ouverture de Vulcania, initialement prévue pour juillet 2000. L'accident a failli frôler la catastrophe, car un examen a révélé que le béton spécial confectionné à partir de basalte n'avait pas accroché aux fers. Les responsables du chantier conduit par Spie ont donc du consolider de nombreuses dalles et des poutres potentiellement dangereuses.
Enfin, alors que la première estimation des coûts était de 45 millions d'euros, le coût final d'environ 100 millions d'euros, financés principalement par le Conseil régional.
Pour rentabiliser ce projet, la direction du parc compte sur quelque 500.000 entrées en 2002 et tablent sur un chiffre de 800.000 par an à l'horizon 2006.
L'actuel président de la région Auvergne a donc préféré un projet aux trois-quarts souterrain, dont la construction s'intègre, semble-t-il, au site de la chaîne des volcans d'Auvergne,. Seul signe extérieur spectaculaire : deux demi-cônes de 28 m de hauteur recouvert de lave grise avec des parois intérieures en titane.
Imaginé et promu depuis une dizaine d'années parValéry Giscard d'Estaing, ce n'est qu'en juillet 1997 que les travaux de construction de Vulcania ont pu commencer sur ce qui était un ancien terrain militaire.
L'opposition des écologistes, hostiles au "bétonnage" du secteur, qui ont déposé un recours devant le tribunal administratif, puis l'effondrement en août 2000 d'une dalle de béton de 170 m2 sur le site des travaux, ont conduit au report de l'ouverture de Vulcania, initialement prévue pour juillet 2000. L'accident a failli frôler la catastrophe, car un examen a révélé que le béton spécial confectionné à partir de basalte n'avait pas accroché aux fers. Les responsables du chantier conduit par Spie ont donc du consolider de nombreuses dalles et des poutres potentiellement dangereuses.
Enfin, alors que la première estimation des coûts était de 45 millions d'euros, le coût final d'environ 100 millions d'euros, financés principalement par le Conseil régional.
Pour rentabiliser ce projet, la direction du parc compte sur quelque 500.000 entrées en 2002 et tablent sur un chiffre de 800.000 par an à l'horizon 2006.