Le train à grande vitesse qui relie la France et la Belgique à la Grande-Bretagne a dévoilé mardi un programme «Voyage Vert» visant à proposer à ses clients un voyage encore plus écologique.
«Le public est de plus en plus concerné par l'environnement et chaque entreprise doit prendre ses responsabilités. L'initiative d'Eurostar prend place à un moment où se développe la prise de conscience face au réchauffement climatique» a déclaré dans un communiqué, Guillaume Pepy, président d'Eurostar.
Le premier objectif du programme «Voyage vert» est la réduction des émissions de CO2 de 25% par trajet et par voyageur d'ici 2012, alors que l'impact en terme de CO2 d'un voyage en train entre Paris ou Bruxelles et Londres est aujourd'hui déjà 10 fois moindre qu'un voyage équivalent en avion. Pour ce faire, l'entreprise mise sur une «diminution de la consommation électrique de son matériel roulant, une meilleure utilisation de la capacité des trains, et l'optimisation de la qualité d'électricité utilisée». La compagnie va notamment installer des compteurs d'énergie sur les trains pour aider les conducteurs à conduire de manière plus économique, mettre en place de nouveaux contrôles pour l'éclairage, le chauffage et la climatisation, et prendre en compte les problèmes d'efficacité énergétique lors de la rénovation des trains à mi-vie.
Par ailleurs, Eurostar a l'intention d'investir dans des projets de compensation de ses émissions pour que ses trajets soient neutres en CO2. Elle va collaborer avec plusieurs organismes de protection de l'environnement, «sans coût supplémentaire pour ses clients», a-t-elle insisté, soulignant sa différence avec les compagnies aériennes ou de tourisme équitable qui invitent leur clientèle à une contribution financière volontaire. La neutralité devrait être effective à partir du 14 novembre, date de début des opérations à la nouvelle gare londonienne de Saint Pancras et d'entrée en service du dernier tronçon à grande vitesse, à la sortie de Londres.
Le premier objectif du programme «Voyage vert» est la réduction des émissions de CO2 de 25% par trajet et par voyageur d'ici 2012, alors que l'impact en terme de CO2 d'un voyage en train entre Paris ou Bruxelles et Londres est aujourd'hui déjà 10 fois moindre qu'un voyage équivalent en avion. Pour ce faire, l'entreprise mise sur une «diminution de la consommation électrique de son matériel roulant, une meilleure utilisation de la capacité des trains, et l'optimisation de la qualité d'électricité utilisée». La compagnie va notamment installer des compteurs d'énergie sur les trains pour aider les conducteurs à conduire de manière plus économique, mettre en place de nouveaux contrôles pour l'éclairage, le chauffage et la climatisation, et prendre en compte les problèmes d'efficacité énergétique lors de la rénovation des trains à mi-vie.
Par ailleurs, Eurostar a l'intention d'investir dans des projets de compensation de ses émissions pour que ses trajets soient neutres en CO2. Elle va collaborer avec plusieurs organismes de protection de l'environnement, «sans coût supplémentaire pour ses clients», a-t-elle insisté, soulignant sa différence avec les compagnies aériennes ou de tourisme équitable qui invitent leur clientèle à une contribution financière volontaire. La neutralité devrait être effective à partir du 14 novembre, date de début des opérations à la nouvelle gare londonienne de Saint Pancras et d'entrée en service du dernier tronçon à grande vitesse, à la sortie de Londres.