Volvo Construction Equipment souhaite renforcer ses positions sur le marché chinois de léquipement de construction et, pour cela, a annoncé mercredi dans un communiqué son intention d'acheter 70% d'un constructeur chinois de matériel de travaux publics, Lingong.
«Cela marque une nouvelle étape importante de la stratégie de croissance de Volvo en Asie (...) Cette coopération sera bénéfique aux deux parties sur le plan industriel comme commercial», a commenté Leif Johansson, président d'AB Volvo, cité dans un communiqué du constructeur.
Shandong Lingong Construction Machinery Co. (Lingong), basé à Linyi, dans la province du Shandong, a enregistré un chiffre d'affaires de 2 milliards de yuans en 2005 (250 millions de dollars). La compagnie chinoise, qui emploie quelque 1.800 personnes, est le 4e producteur chinois de chargeuses sur pneus, selon Volvo.
En Chine, depuis quelques mois, des voix officielles se sont élevées pour critiquer la cession d'entreprises nationales dans des domaines «stratégiques» industriels, comme les équipements de construction. Par exemple, l'acquisition du constructeur d'engins de travaux Xugong par le fonds d'investissement américain Carlyle Group, annoncée en octobre 2005 comme la première prise de contrôle d'une société publique chinoise par un étranger, n'a ainsi toujours pas reçu le feu vert gouvernemental.
Shandong Lingong Construction Machinery Co. (Lingong), basé à Linyi, dans la province du Shandong, a enregistré un chiffre d'affaires de 2 milliards de yuans en 2005 (250 millions de dollars). La compagnie chinoise, qui emploie quelque 1.800 personnes, est le 4e producteur chinois de chargeuses sur pneus, selon Volvo.
En Chine, depuis quelques mois, des voix officielles se sont élevées pour critiquer la cession d'entreprises nationales dans des domaines «stratégiques» industriels, comme les équipements de construction. Par exemple, l'acquisition du constructeur d'engins de travaux Xugong par le fonds d'investissement américain Carlyle Group, annoncée en octobre 2005 comme la première prise de contrôle d'une société publique chinoise par un étranger, n'a ainsi toujours pas reçu le feu vert gouvernemental.