La femme d'affaire Ester Koplowitz, actionnaire de référence de FCC, le numéro un espagnol du BTP, a décidé de ne pas racheter pas la participation de 27,7% de Vivendi dans son groupe, mettant fin aux rumeurs sur un éventuel changement d'actionnaire.
Ester Koplowitz avait une option pour racheter à Vivendi Environnement la participation qu'elle avait vendue à sa maison mère quatre ans plus tôt si cette dernière descendait sous 50% du capital de Vivendi Environnement, ce qui a été annoncé lundi soir.
Elle aurait donc pu acheter la participation de Vivendi pour 691 millions d'euros, soit pratiquement 22% de moins que sa valeur de marché actuelle pour ensuite la proposer à un éventuel repreneur comme Vinci ou Suez et empocher au passage quelque 200 millions d'euros de plus-value.
Finalement, sa décision a été, au contraire, de conclure un accord avec Vivendi pour ne pas exercer ce call ou rechercher un éventuel partenaire. Selon Les Echos, Ester Koplowitz aurait obtenu en contre partie l'autorisation de conserver ses activités de BTP et d'hôtellerie, deux secteurs dont Vivendi souhaitait voir FCC se désengager à terme.
Elle aurait donc pu acheter la participation de Vivendi pour 691 millions d'euros, soit pratiquement 22% de moins que sa valeur de marché actuelle pour ensuite la proposer à un éventuel repreneur comme Vinci ou Suez et empocher au passage quelque 200 millions d'euros de plus-value.
Finalement, sa décision a été, au contraire, de conclure un accord avec Vivendi pour ne pas exercer ce call ou rechercher un éventuel partenaire. Selon Les Echos, Ester Koplowitz aurait obtenu en contre partie l'autorisation de conserver ses activités de BTP et d'hôtellerie, deux secteurs dont Vivendi souhaitait voir FCC se désengager à terme.