Le groupe qui rassemble les activités historiques de l'ex-Générale est définitivement débarrassé de la tutelle de Vivendi Universal, ce dernier venant d'annoncer la vente de sa participation dans sa filiale de traitement de l'eau.
Vivendi Universal cède ainsi la moitié de ses actions, soit environ 20,4% du capital de Vivendi Environnement, à un groupe d'investisseurs, dont la BNP Paribas, qui doit acquérir le reste des titres d'ici la fin 2004.
Ce groupe d'investisseurs - français pour la plupart - est composé de AGF, du groupe AXA de la BNP Paribas, de la Caisse nationale des caisses d'épargne, de la Caisse des dépôts et consignations, du Crédit lyonnais, du groupe CM-CIC, du groupe CNP, du Crédit Agricole Indosuez, de Dexia Crédit Local, Eurazeo, Generali, Groupama, Médéric Prévoyance, Société Générale, Wasserstein Family Trust, mais aussi d'EDF qui détient 4% du capital.
Les voeux de Henri Proglio, président du directoire de VE, qui a toujours milité pour une sortie des activités historiques de l'ex-Générale des eaux du numéro deux mondial de la communication sont donc exaucés.
Rappelons que Henri Proglio avait récemment déclaré qu'il aimait le nom Vivendi mais qu'il ne voulait plus d'un nom susceptible d'être "associé à un bateau qui a coulé", faisant référence à la situation de quasi-faillite dans laquelle s'était retrouvé cet été Vivendi Universal.
Ce groupe d'investisseurs - français pour la plupart - est composé de AGF, du groupe AXA de la BNP Paribas, de la Caisse nationale des caisses d'épargne, de la Caisse des dépôts et consignations, du Crédit lyonnais, du groupe CM-CIC, du groupe CNP, du Crédit Agricole Indosuez, de Dexia Crédit Local, Eurazeo, Generali, Groupama, Médéric Prévoyance, Société Générale, Wasserstein Family Trust, mais aussi d'EDF qui détient 4% du capital.
Les voeux de Henri Proglio, président du directoire de VE, qui a toujours milité pour une sortie des activités historiques de l'ex-Générale des eaux du numéro deux mondial de la communication sont donc exaucés.
Rappelons que Henri Proglio avait récemment déclaré qu'il aimait le nom Vivendi mais qu'il ne voulait plus d'un nom susceptible d'être "associé à un bateau qui a coulé", faisant référence à la situation de quasi-faillite dans laquelle s'était retrouvé cet été Vivendi Universal.