Le groupe de construction et de services a dégagé 731,3 millions de bénéfices nets en 2004, soit 35% de plus que lannée dernière. Vinci prévoit déjà une nouvelle progression de ses performances en 2005, notamment grâce à lamélioration de ses marges dans la construction.
Antoine Zacharias est optimiste. Le Pdg du groupe Vinci la dailleurs déclaré haut et fort en présentant les excellents résultats du groupe en 2004. Antoine Zacharias estime en effet quune amélioration de la marge dexploitation dans le secteur du groupe - qui a dépassé les 4% en 2004 - est encore possible.
"Il faudra bien que ça s'arrête quelque part, mais il y a encore tout à faire sur les chantiers et on découvre tous les jours de nouvelles techniques, de nouveaux procédés pour améliorer notre façon de construire", a déclaré M. Zacharias à LCI. "Nous sommes très optimistes", a-t-il ajouté.
Selon un communiqué publié mardi, Vinci a dégagé en 2004 un bénéfice net en forte hausse de 35% à 731,3 millions d'euros contre 541,4 millions d'euros en 2003.
Pour ses prévisions 2005, le groupe s'est contenté d'indiquer que "compte tenu du volume et la qualité du carnet de commandes, ainsi que de la bonne dynamique des métiers du groupe, l'année 2005 devrait marquer un nouveau progrès des performances de Vinci".
En 2004, le pôle construction est le premier contributeur du groupe avec un bénéfice net en hausse de 36% à 241,7 millions d'euros, contre 177,5 millions d'euros en 2003.
Le pôle concessions et services du groupe a lui aussi enregistré une forte progression de son bénéfice net à 214,2 millions d'euros, contre 163,9 millions d'euros (+31%).
Le pôle énergies a vu son bénéfice net progresser de 63% à 87,1 millions d'euros contre 53,3 millions d'euros. Quant au pôle routes, il enregistre une hausse de 5% de son bénéfice net à 131,5 millions d'euros.
Interrogé sur un éventuel intérêt de Vinci pour d'autres sociétés d'autoroute qu'Autoroutes du Sud de la France (ASF), dont il détient 22,7%, le PDG a répondu: "non". "Nous avons clairement dit que (...) nous ne nous intéressons pas aux deux autres sociétés d'autoroutes", a-t-il déclaré, en souhaitant que d'autres groupes le fassent "pour créer une émulation et une concurrence".
"Il faudra bien que ça s'arrête quelque part, mais il y a encore tout à faire sur les chantiers et on découvre tous les jours de nouvelles techniques, de nouveaux procédés pour améliorer notre façon de construire", a déclaré M. Zacharias à LCI. "Nous sommes très optimistes", a-t-il ajouté.
Selon un communiqué publié mardi, Vinci a dégagé en 2004 un bénéfice net en forte hausse de 35% à 731,3 millions d'euros contre 541,4 millions d'euros en 2003.
Pour ses prévisions 2005, le groupe s'est contenté d'indiquer que "compte tenu du volume et la qualité du carnet de commandes, ainsi que de la bonne dynamique des métiers du groupe, l'année 2005 devrait marquer un nouveau progrès des performances de Vinci".
En 2004, le pôle construction est le premier contributeur du groupe avec un bénéfice net en hausse de 36% à 241,7 millions d'euros, contre 177,5 millions d'euros en 2003.
Le pôle concessions et services du groupe a lui aussi enregistré une forte progression de son bénéfice net à 214,2 millions d'euros, contre 163,9 millions d'euros (+31%).
Le pôle énergies a vu son bénéfice net progresser de 63% à 87,1 millions d'euros contre 53,3 millions d'euros. Quant au pôle routes, il enregistre une hausse de 5% de son bénéfice net à 131,5 millions d'euros.
Interrogé sur un éventuel intérêt de Vinci pour d'autres sociétés d'autoroute qu'Autoroutes du Sud de la France (ASF), dont il détient 22,7%, le PDG a répondu: "non". "Nous avons clairement dit que (...) nous ne nous intéressons pas aux deux autres sociétés d'autoroutes", a-t-il déclaré, en souhaitant que d'autres groupes le fassent "pour créer une émulation et une concurrence".