La présidente du Medef Laurence Parisot a jugé «formidable» la décision du conseil d'administration du groupe de BTP Vinci de conserver Xavier Huillard à la direction du groupe. Décision qui a poussé à la démission son président Antoine Zacharias, accusé de s'attribuer des rémunérations exorbitantes.
«Quand j'ai appris la décision du conseil d'administration de Vinci, je me suis dit ?formidable, le système de gouvernance tel que le préconise le Medef a fonctionné?», a déclaré Laurence Parisot, vendredi sur RTL. Cette affaire lui «soulevait le c'ur», a-t-elle souligné.
«La rémunération des dirigeants doit se faire en bonne gestion, il ne doit pas y avoir d'excès», a-t-elle martelé, en affirmant que des cas tels que Vinci étaient «rarissimes».
Lors d'un déplacement à Sisteron jeudi, et ce avant même que la décision du conseil d'administration de Vinci, la patronne de patrons avait par ailleurs déclaré qu'il s'agissait d'«un cas par rapport à des centaines de milliers de chefs-d'entreprise. Les ordres de grandeur sont très loin du quotidien de la quasi-totalité des entreprises françaises.», selon Les Echos
«La rémunération des dirigeants doit se faire en bonne gestion, il ne doit pas y avoir d'excès», a-t-elle martelé, en affirmant que des cas tels que Vinci étaient «rarissimes».
Lors d'un déplacement à Sisteron jeudi, et ce avant même que la décision du conseil d'administration de Vinci, la patronne de patrons avait par ailleurs déclaré qu'il s'agissait d'«un cas par rapport à des centaines de milliers de chefs-d'entreprise. Les ordres de grandeur sont très loin du quotidien de la quasi-totalité des entreprises françaises.», selon Les Echos
