Après une série de tests concluants, le premier exploitant de stationnement en France va progressivement adapter le paiement par le porte-monnaie électronique Moneo pour ses horodateurs.
Fin 2003, la moitié des horodateurs de Vinci Park devraient être adaptés pour accepter les paiements par Moneo.
Au cours d'une conférence de presse, les dirigeants de Vinci Park (groupe Vinci) et de BMS (Billetique monétique services), la société promotrice de Moneo, ont souligné que les dernières expériences de paiement des horodateurs avec Moneo, notamment celle de Boulogne-Billancourt, avaient donné satisfaction.
Il faut reconnaître que les habitants de Boulogne avaient toutes les raisons d'être satisfaits car 20.000 cartes Moneo ont été distribuées gratuitement, alors qu'elles sont normalement facturées 6 à 12 euros par an, selon que l'on choisit d'utiliser la fonction Moneo sur sa carte bancaire ou d'acheter une carte dédiée.
Pour Vinci Park, qui gère le stationnement sur voirie de près de 100 villes en France au moyen de 10.000 horodateurs, l'expérience présente de nombreux avantages en évitant les inconvénients liés aux pillages, à la détérioration et en permettant d'économiser la collecte des pièces. "Quatre à six tonnes de pièces étaient manipulées chaque semaine sur Boulogne", rappelle-t-on chez Vinci. Au total, même si Vinci paie environ 1% à Moneo en tant que "redevance", il économise une somme correspondant au coût de la collecte.
Rappelons que Moneo, carte à puce rechargeable destinée à régler les petits achats a été lancée au printemps 2001. Elle est acceptée pour le moment par 70.000 commerçants affiliés et utilisée par 670.000 utilisateurs. Pour l'instant, 17 millions de paiements Moneo ont été réalisés, dont 1 million dans les horodateurs, soit 6% du montant total, a indiqué Patrick Werner, président de BMS.
La décision de Vinci peut aider Moneo à s'installer, mais ce système défendu par la plupart des banques se heurte à l'opposition de plusieurs fédérations de commerçants, dont les buralistes et les boulangers. Ils menacent de ne pas accepter Moneo, jugé trop cher, car les banques facturent son usage et au consommateur et au commerçant, alors que l'argent liquide est gratuit.
Jusqu'à présent, hormis le paiement par pièce, les horodateurs acceptent uniquement des règlements avec des cartes de stationnement spécifiques et différentes dans chaque ville.
Au cours d'une conférence de presse, les dirigeants de Vinci Park (groupe Vinci) et de BMS (Billetique monétique services), la société promotrice de Moneo, ont souligné que les dernières expériences de paiement des horodateurs avec Moneo, notamment celle de Boulogne-Billancourt, avaient donné satisfaction.
Il faut reconnaître que les habitants de Boulogne avaient toutes les raisons d'être satisfaits car 20.000 cartes Moneo ont été distribuées gratuitement, alors qu'elles sont normalement facturées 6 à 12 euros par an, selon que l'on choisit d'utiliser la fonction Moneo sur sa carte bancaire ou d'acheter une carte dédiée.
Pour Vinci Park, qui gère le stationnement sur voirie de près de 100 villes en France au moyen de 10.000 horodateurs, l'expérience présente de nombreux avantages en évitant les inconvénients liés aux pillages, à la détérioration et en permettant d'économiser la collecte des pièces. "Quatre à six tonnes de pièces étaient manipulées chaque semaine sur Boulogne", rappelle-t-on chez Vinci. Au total, même si Vinci paie environ 1% à Moneo en tant que "redevance", il économise une somme correspondant au coût de la collecte.
Rappelons que Moneo, carte à puce rechargeable destinée à régler les petits achats a été lancée au printemps 2001. Elle est acceptée pour le moment par 70.000 commerçants affiliés et utilisée par 670.000 utilisateurs. Pour l'instant, 17 millions de paiements Moneo ont été réalisés, dont 1 million dans les horodateurs, soit 6% du montant total, a indiqué Patrick Werner, président de BMS.
La décision de Vinci peut aider Moneo à s'installer, mais ce système défendu par la plupart des banques se heurte à l'opposition de plusieurs fédérations de commerçants, dont les buralistes et les boulangers. Ils menacent de ne pas accepter Moneo, jugé trop cher, car les banques facturent son usage et au consommateur et au commerçant, alors que l'argent liquide est gratuit.
Jusqu'à présent, hormis le paiement par pièce, les horodateurs acceptent uniquement des règlements avec des cartes de stationnement spécifiques et différentes dans chaque ville.