En 2001, pour son premier exercice intégrant GTM, le numéro un européen de la construction a réalisé un chiffre d'affaires de 17,2 milliards d'euros en 2001, stable par rapport à 2000.
Vinci indique que cette stabilité du chiffre d'affaires traduit les orientations stratégiques du groupe qui a choisi de privilégier la croissance des marges sur les volumes.
Ainsi, Vinci Concessions a "accéléré sa croissance en 2001, notamment dans le secteur aéroportuaire et Eurovia (routes) affiche une forte progression à l'étranger". Parallèlement, la poursuite du redéploiement de GTIE (travaux électriques) vers des secteurs à plus fort potentiel et la politique de sélectivité menée par Vinci Construction ont entraîné "de légères baisses de chiffres d'affaires dans ces deux pôles".
A l'étranger, Vinci a dégagé un chiffre d'affaires de 6,6 milliards d'euros, soit 38% du total. Si l'on exclut l'Allemagne où l'activité a été réduite de 12,3%, l'augmentation du chiffre d'affaires international est de 3,8%. Les plus fortes progressions sont enregistrées au Royaume Uni et aux Etats-Unis.
Par secteur, l'activité construction, métier historique du groupe, reste encore le pôle principal avec un chiffre d'affaires en 2001 de 6,916 milliards d'euros, en recul de 3,7% à structure constante sur 2000. En France, le chiffre d'affaires s'est replié de 5% à structure comparable, "en dépit d'une activité toujours soutenue dans le bâtiment, notamment en région parisienne".
Cette baisse s'explique en partie par le recul "ponctuel" des activités de génie civil. A l'étranger, le chiffre d'affaires s'est légèrement contracté (-1,8%).
Vinci Construction aborde l'exercice 2002 avec un carnet de commandes proche de ses plus hauts niveaux, représentant près de 12 mois d'activité prévisionnelle.
L'activité concessions a réalisé un chiffre d'affaires de 1,46 milliard d'euros, en progression de 5,4% à structure constante. Cofiroute a vu son c.a. progresser de 4,2% à 741 millions d'euros et Vinci Park de plus de 5% à structure constante à 467 millions d'euros. L'activité de Vinci Airport a représenté 178 millions d'euros.
Les routes ont réalisé un chiffre d'affaires de 5,497 milliards d'euros, en progression de 2,8% à structure constante sur l'an dernier. En France, l'activité a augmenté de 2,5% tandis qu'à l'étranger, elle a crû de 8% hors Allemagne (+11% à périmètre réel).
L'activité énergies-information, qui a pâti de la baisse d'activité dans ce secteur, a fléchi d'une année sur l'autre de 1,9% à structure constante à 2,981 milliards d'euros.
Le carnet de commandes consolidé du groupe (hors concessions) s'établissait à 10,4 milliards d'euros au 31 décembre 2001, niveau comparable à celui de l'exercice précédent. Il représente 8 mois d'activité prévisionnelle.
Le groupe précise qu'il s'agit du premier exercice intégrant en année pleine la société GTM. "Cet exercice montre l'accélération du redéploiement des métiers du groupe vers des activités de services présentant un potentiel de croissance durable", indique le communiqué.
Enfin, les perspectives 2002, "en dépit d'un environnement conjoncturel plus difficile, demeurent favorables pour Vinci", qui souligne avoir une bonne visibilité dans l'ensemble de ses activités.
Ainsi, Vinci Concessions a "accéléré sa croissance en 2001, notamment dans le secteur aéroportuaire et Eurovia (routes) affiche une forte progression à l'étranger". Parallèlement, la poursuite du redéploiement de GTIE (travaux électriques) vers des secteurs à plus fort potentiel et la politique de sélectivité menée par Vinci Construction ont entraîné "de légères baisses de chiffres d'affaires dans ces deux pôles".
A l'étranger, Vinci a dégagé un chiffre d'affaires de 6,6 milliards d'euros, soit 38% du total. Si l'on exclut l'Allemagne où l'activité a été réduite de 12,3%, l'augmentation du chiffre d'affaires international est de 3,8%. Les plus fortes progressions sont enregistrées au Royaume Uni et aux Etats-Unis.
Par secteur, l'activité construction, métier historique du groupe, reste encore le pôle principal avec un chiffre d'affaires en 2001 de 6,916 milliards d'euros, en recul de 3,7% à structure constante sur 2000. En France, le chiffre d'affaires s'est replié de 5% à structure comparable, "en dépit d'une activité toujours soutenue dans le bâtiment, notamment en région parisienne".
Cette baisse s'explique en partie par le recul "ponctuel" des activités de génie civil. A l'étranger, le chiffre d'affaires s'est légèrement contracté (-1,8%).
Vinci Construction aborde l'exercice 2002 avec un carnet de commandes proche de ses plus hauts niveaux, représentant près de 12 mois d'activité prévisionnelle.
L'activité concessions a réalisé un chiffre d'affaires de 1,46 milliard d'euros, en progression de 5,4% à structure constante. Cofiroute a vu son c.a. progresser de 4,2% à 741 millions d'euros et Vinci Park de plus de 5% à structure constante à 467 millions d'euros. L'activité de Vinci Airport a représenté 178 millions d'euros.
Les routes ont réalisé un chiffre d'affaires de 5,497 milliards d'euros, en progression de 2,8% à structure constante sur l'an dernier. En France, l'activité a augmenté de 2,5% tandis qu'à l'étranger, elle a crû de 8% hors Allemagne (+11% à périmètre réel).
L'activité énergies-information, qui a pâti de la baisse d'activité dans ce secteur, a fléchi d'une année sur l'autre de 1,9% à structure constante à 2,981 milliards d'euros.
Le carnet de commandes consolidé du groupe (hors concessions) s'établissait à 10,4 milliards d'euros au 31 décembre 2001, niveau comparable à celui de l'exercice précédent. Il représente 8 mois d'activité prévisionnelle.
Le groupe précise qu'il s'agit du premier exercice intégrant en année pleine la société GTM. "Cet exercice montre l'accélération du redéploiement des métiers du groupe vers des activités de services présentant un potentiel de croissance durable", indique le communiqué.
Enfin, les perspectives 2002, "en dépit d'un environnement conjoncturel plus difficile, demeurent favorables pour Vinci", qui souligne avoir une bonne visibilité dans l'ensemble de ses activités.
