Selon Les Echos, Vinci serait en pourparlers avec Eurotunnel pour participer à la restructuration financière de la société. Le numéro un mondial du BTP dément cependant linformation relayée par le quotidien.
Suite à un article paru vendredi dans les Echos quant à la participation de Vinci dans la restructuration financière dEurotunnel, Pierre Coppey, directeur général adjoint de Vinci chargé de la communication et des ressources humaines a indiqué quil navait « eu aucun contact avec Eurotunnel », sans autre commentaire.
Vinci serait, selon le quotidien économique, en train d'étudier son entrée dans Eurotunnel à la demande des banques américaine Goldman Sachs et australienne Macquarie pour soutenir la restructuration financière de l'opérateur du tunnel sous la Manche. Les Echos indiquent cependant « quaucune décision naurait été prise à ce stade ».
Eurotunnel s'est pour sa part refusé à tout commentaire.
Toujours selon les Echos, le groupe français de BTP poursuivrait dautre part activement des discussions avec les deux banques qui l'ont invité, avec d'autres, à participer à un tour de table d'investisseurs prêts à soutenir la restructuration financière d'Eurotunnel, qui croule sous une dette de neuf milliards d'euros.
Cette entrée dans Eurotunnel se ferait, selon Les Echos, via une émission de quelque un milliard deuros de titres hybrides et pourrait ainsi permettre à ce pool de financiers et d'industriels de prendre d'ici trois ans le contrôle de la société franco-britannique.
Eurotunnel avait affirmé mardi être « en discussions avancées » avec ses créanciers et plusieurs investisseurs potentiels sur une restructuration de l'ensemble de sa dette, sans plus de précisions.
Vinci serait, selon le quotidien économique, en train d'étudier son entrée dans Eurotunnel à la demande des banques américaine Goldman Sachs et australienne Macquarie pour soutenir la restructuration financière de l'opérateur du tunnel sous la Manche. Les Echos indiquent cependant « quaucune décision naurait été prise à ce stade ».
Eurotunnel s'est pour sa part refusé à tout commentaire.
Toujours selon les Echos, le groupe français de BTP poursuivrait dautre part activement des discussions avec les deux banques qui l'ont invité, avec d'autres, à participer à un tour de table d'investisseurs prêts à soutenir la restructuration financière d'Eurotunnel, qui croule sous une dette de neuf milliards d'euros.
Cette entrée dans Eurotunnel se ferait, selon Les Echos, via une émission de quelque un milliard deuros de titres hybrides et pourrait ainsi permettre à ce pool de financiers et d'industriels de prendre d'ici trois ans le contrôle de la société franco-britannique.
Eurotunnel avait affirmé mardi être « en discussions avancées » avec ses créanciers et plusieurs investisseurs potentiels sur une restructuration de l'ensemble de sa dette, sans plus de précisions.