Fort d'une hausse de son bénéfice net au premier semestre, le groupe français de BTP Vinci annonce des perspectives financières optimistes à l'horizon 2009. Le groupe dévoile son ambition de se développer hors de France et d'acheter de nouvelles concessions.
Vinci va bien ! Au premier semestre 2006, le groupe a dégagé un bénéfice net en hausse de 45,2% à 517 millions d'euros, et de 32,4%, à 518,4 M' en données pro forma. Une différence que le groupe explique par l'intégration des Autoroutes du Sud de la France (ASF) à compter du 9 mars seulement. Antérieurement à cette date, les comptes réels prennent en compte le résultat d'ASF par mise en équivalence à hauteur de 23%», précise le groupe de BTP.
Toujours sur cette période, le bénéfice opérationnel est quant à lui ressorti à 1,1 milliard d'euros, en hausse de 16,8%. En hausse de 8,4%, à 11,9 milliards d'euros, le chiffre d'affaires a de son côté progressé dans l'ensemble des métiers du groupe, aussi bien en France qu'à l'international.
Dans le détail, par métier, les Concessions ont dégagé un bénéfice net de 247 millions d'euros, en hausse de 73,8%, pour un chiffre d'affaires de 2 Md', en progression de 6,6% en structure réelle. Vinci estime que le premier semestre a été «bon» en particulier pour ASF et Cofiroute. Le groupe a ajouté que «les investissements de développement dans les concessions se sont fortement accrus», précisant qu'ils «représentent un montant de 660 millions d'euros» dont 358 millions chez Cofiroute et 246 millions chez ASF.
De son côté, l'activité Energies a vu son bénéfice net augmenter de 31,7% à 53 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 1,74 Md' en hausse de 4,4%.
Par ailleurs, l'activité Construction a généré un chiffre d'affaires de 4,928 Md' (+ 8%). Son bénéfice a quant à lui augmenté de 4,5% à 159 millions d'euros. Un «tassement dû, selon Vinci, pour l'essentiel, à l'effet de produits non récurrents enregistrés début 2005».
Les Routes ont quant à elles généré un bénéfice net de 16 millions d'euros, en hausse de 31,1% pour un CA de 3,122 M', en progression de 11,7%.
Le carnet de commandes des pôles construction, routes et énergies s'établit à 18 milliards d'euros au 31 juillet, soit une hausse de 19% par rapport à fin juillet 2005.
Vinci confirme ses objectifs
Pour l'ensemble de l'année 2006, Vinci confirme son objectif de dépasser les 25 milliards de chiffre d'affaires. Et ce, «en dépit de la cession de WFS (activités portuaires vendues début août, ndlr) représentant une perte de chiffre d'affaires de 500 millions d'euros», affirme le groupe.
Le groupe a également annoncé qu'il annulait immédiatement 4,8 millions d'actions disponibles réduisant le nombre d'actions total à 234,1 millions. En vertu du programme de rachat autorisé par l'assemblée générale du groupe en mai dernier, le groupe va également racheter pour 12 millions d'euros de ses propres actions.
Quant à l'avenir, Vinci reste confiant ! Le groupe a ainsi annoncé qu'il prévoyait «à l'horizon 2009» un chiffre d'affaires annuel «d'au moins 30 milliards d'euros» ainsi qu'un Ebitda (résultat brut d'exploitation) «supérieur à 5 milliards d'euros». «Plus de 60% seront générés par les concessions, a précisé le groupe. Et d'ajouter : «La performance de l'exercice 2006 s'inscrira pleinement dans cette perspective».
Le conseil d'administration a ainsi «validé le plan fixant les objectifs à trois ans présenté par Xavier Huillard», directeur général du groupe, précise Vinci.
Enfin, Vinci a indiqué qu'il souhaitait «mettre l'accent sur son développement international» et «rechercher de nouvelles concessions, en profitant notamment des opportunités offertes du marché des partenariats public-privé dans de nombreux pays et sur le continent américain».
Toujours sur cette période, le bénéfice opérationnel est quant à lui ressorti à 1,1 milliard d'euros, en hausse de 16,8%. En hausse de 8,4%, à 11,9 milliards d'euros, le chiffre d'affaires a de son côté progressé dans l'ensemble des métiers du groupe, aussi bien en France qu'à l'international.
Dans le détail, par métier, les Concessions ont dégagé un bénéfice net de 247 millions d'euros, en hausse de 73,8%, pour un chiffre d'affaires de 2 Md', en progression de 6,6% en structure réelle. Vinci estime que le premier semestre a été «bon» en particulier pour ASF et Cofiroute. Le groupe a ajouté que «les investissements de développement dans les concessions se sont fortement accrus», précisant qu'ils «représentent un montant de 660 millions d'euros» dont 358 millions chez Cofiroute et 246 millions chez ASF.
De son côté, l'activité Energies a vu son bénéfice net augmenter de 31,7% à 53 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 1,74 Md' en hausse de 4,4%.
Par ailleurs, l'activité Construction a généré un chiffre d'affaires de 4,928 Md' (+ 8%). Son bénéfice a quant à lui augmenté de 4,5% à 159 millions d'euros. Un «tassement dû, selon Vinci, pour l'essentiel, à l'effet de produits non récurrents enregistrés début 2005».
Les Routes ont quant à elles généré un bénéfice net de 16 millions d'euros, en hausse de 31,1% pour un CA de 3,122 M', en progression de 11,7%.
Le carnet de commandes des pôles construction, routes et énergies s'établit à 18 milliards d'euros au 31 juillet, soit une hausse de 19% par rapport à fin juillet 2005.
Vinci confirme ses objectifs
Pour l'ensemble de l'année 2006, Vinci confirme son objectif de dépasser les 25 milliards de chiffre d'affaires. Et ce, «en dépit de la cession de WFS (activités portuaires vendues début août, ndlr) représentant une perte de chiffre d'affaires de 500 millions d'euros», affirme le groupe.
Le groupe a également annoncé qu'il annulait immédiatement 4,8 millions d'actions disponibles réduisant le nombre d'actions total à 234,1 millions. En vertu du programme de rachat autorisé par l'assemblée générale du groupe en mai dernier, le groupe va également racheter pour 12 millions d'euros de ses propres actions.
Quant à l'avenir, Vinci reste confiant ! Le groupe a ainsi annoncé qu'il prévoyait «à l'horizon 2009» un chiffre d'affaires annuel «d'au moins 30 milliards d'euros» ainsi qu'un Ebitda (résultat brut d'exploitation) «supérieur à 5 milliards d'euros». «Plus de 60% seront générés par les concessions, a précisé le groupe. Et d'ajouter : «La performance de l'exercice 2006 s'inscrira pleinement dans cette perspective».
Le conseil d'administration a ainsi «validé le plan fixant les objectifs à trois ans présenté par Xavier Huillard», directeur général du groupe, précise Vinci.
Enfin, Vinci a indiqué qu'il souhaitait «mettre l'accent sur son développement international» et «rechercher de nouvelles concessions, en profitant notamment des opportunités offertes du marché des partenariats public-privé dans de nombreux pays et sur le continent américain».
