La mairie de Toulouse vient d'annoncer son intention de racheter l'immeuble du Grand Hôtel dans le centre-ville, récemment libéré par le collectif d'artistes Mix?art Myrys après 10 ans de squat. L'objectif ? «Mener une opération inspirée par un principe d'équilibre et de mixité».
«Si le conseil municipal (du 15 décembre) retient ma proposition, mon idée serait de faire en sorte qu'il y ait au rez-de-chaussée et au premier étage une activité commerciale (...), et pour les autres étages, 40% de logement social et de logement étudiant et 60% de logement privé à dominante accès à la propriété», déclare le maire UMP Jean-Luc Moudenc.
D'une superficie de 7.700 m2, cette ancienne préfecture, qui appartient au rectorat depuis 1999, est estimée à 5,5 millions d'euros. La ville se réserve par ailleurs 700m2 pour le musée des Augustins.
C'est la première fois que la ville rose, dont la part de logement sociaux s'élèvent à 18,1%, s'attaque à une telle reconversion ! Avec un tel projet, qui devrait voir le jour d'ici trois à cinq ans, la mairie souhaite ainsi « faire revivre cet espace» et étendre l'activité du centre ville.
«Si on avait fait 100% de logement sociaux, cela aurait créé un déséquilibre. Je préfère que l'on disperse le logement social et que l'on en mette dans tous les quartiers, y compris le centre-ville», souligne Jean-Luc Moudenc.
D'une superficie de 7.700 m2, cette ancienne préfecture, qui appartient au rectorat depuis 1999, est estimée à 5,5 millions d'euros. La ville se réserve par ailleurs 700m2 pour le musée des Augustins.
C'est la première fois que la ville rose, dont la part de logement sociaux s'élèvent à 18,1%, s'attaque à une telle reconversion ! Avec un tel projet, qui devrait voir le jour d'ici trois à cinq ans, la mairie souhaite ainsi « faire revivre cet espace» et étendre l'activité du centre ville.
«Si on avait fait 100% de logement sociaux, cela aurait créé un déséquilibre. Je préfère que l'on disperse le logement social et que l'on en mette dans tous les quartiers, y compris le centre-ville», souligne Jean-Luc Moudenc.