En écho aux chantiers navals tout proches, l’architecte Georges Maurios a créé un lotissement de 24 maisons individuelles entièrement en charpente métallique. Coloré, ce parc locatif géré par le bailleur social Espace Domicile offre à ses occupants une surface habitable importante, avec jardin, garage et un espace bonus polyvalent.
Le lotissement du «Pré Gras», situé à l’est de Saint-Nazaire dans le quartier de Penhoët, était devenu une véritable friche dans les années 1990, à cause de la perte de vitesse des chantiers de construction navale. Décidée à désenclaver le quartier avec la reprise de l’activité, la société Espace Domicile acquiert le terrain pour y créer des logements sociaux, desservis par quatre rues.
«La médiocre qualité du sous-sol induisant des fondations onéreuses, nous nous sommes orientés vers des techniques de construction industrielles économiques, permettant de réaliser des structures d’un faible poids», explique Franck Gourdel, responsable développement et réhabilitation chez Espace Domicile.
Avec l’appui de l’architecte Georges Maurios à Paris, le procédé constructif choisit a été le CIBBAP, mis au point par Usinor. Il s’agit de modules porteurs en tôle pliées, préfabriqués en usine, et assemblés sur place avec des techniques simples en seulement trois jours. Ces éléments, de 5,50 de long sur 40 cm de large, permettent de réaliser en même temps la structure et l’enveloppe.
L’économie de construction a permis de fournir aux locataires des prestations plus élevées quant à la surface (106 m2 habitable hors garage) et au confort intérieur (isolation thermique et phonique). Les maisons, entourées d’un jardin de 180 m2, sont constituées d’un rez-de-chaussée avec cuisine et séjour double hauteur, séparés par un escalier central menant aux chambres.
L’étage bénéficie d’un espace polyvalent de 9 à 27 m2, dont l’occupation est laissée à l’initiative des habitants : bureau, chambre supplémentaire, salle de gymnastique ou coin bricolage.
Alignés en quinconce sur la rue ou sur l’intérieur de l’îlot, les volumes cubiques des maisons se distinguent les unes des autres par leur couleur extérieure bigarrée : blanc plus rouge, jaune, vert, bleu, gris ou beige. Les ouvertures supérieures des chambres diffèrent également dans leur disposition pour éviter toute répétition et toute monotonie. Elles sont protégées par des panneaux coulissants en tôle perforée qui filtre la vue et le soleil.
La semaine prochaine, quatrième épisode du feuilleton lié à l’exposition «Voisins-Voisines» : les diversités de Bordeaux.
«La médiocre qualité du sous-sol induisant des fondations onéreuses, nous nous sommes orientés vers des techniques de construction industrielles économiques, permettant de réaliser des structures d’un faible poids», explique Franck Gourdel, responsable développement et réhabilitation chez Espace Domicile.
Avec l’appui de l’architecte Georges Maurios à Paris, le procédé constructif choisit a été le CIBBAP, mis au point par Usinor. Il s’agit de modules porteurs en tôle pliées, préfabriqués en usine, et assemblés sur place avec des techniques simples en seulement trois jours. Ces éléments, de 5,50 de long sur 40 cm de large, permettent de réaliser en même temps la structure et l’enveloppe.
L’économie de construction a permis de fournir aux locataires des prestations plus élevées quant à la surface (106 m2 habitable hors garage) et au confort intérieur (isolation thermique et phonique). Les maisons, entourées d’un jardin de 180 m2, sont constituées d’un rez-de-chaussée avec cuisine et séjour double hauteur, séparés par un escalier central menant aux chambres.
L’étage bénéficie d’un espace polyvalent de 9 à 27 m2, dont l’occupation est laissée à l’initiative des habitants : bureau, chambre supplémentaire, salle de gymnastique ou coin bricolage.
Alignés en quinconce sur la rue ou sur l’intérieur de l’îlot, les volumes cubiques des maisons se distinguent les unes des autres par leur couleur extérieure bigarrée : blanc plus rouge, jaune, vert, bleu, gris ou beige. Les ouvertures supérieures des chambres diffèrent également dans leur disposition pour éviter toute répétition et toute monotonie. Elles sont protégées par des panneaux coulissants en tôle perforée qui filtre la vue et le soleil.
La semaine prochaine, quatrième épisode du feuilleton lié à l’exposition «Voisins-Voisines» : les diversités de Bordeaux.
