Les vacanciers épris de nature et dhistoire peuvent louer pour 880 euros par jour le village de Sao Gregoria -transformé en gîte rural- situé au pied de la chaîne de montagnes dOssa proche de la frontière espagnole.
Déserté par ses habitants à la fin des années soixante-dix, ce hameau d'agriculteurs de l'Alentejo comprenant une douzaine de petites maisons traditionnelles, est l'une des provinces les plus pauvres du Portugal.
C'est tout à fait par hasard que la famille Guimaraes, passionnée par l'histoire rurale de l'Alentejo, achète la première maison de Sao Gregorio au début des années quatre-vingt-dix. «Mon père était dans une 'tasca' (bistro) lorsqu'un monsieur lui propose d'acheter sa maison pour la modique somme de 30.000 escudos (150 euros). Mon père fait tout de suite un chèque et visite la maison ensuite», raconte Duarte Guimaraes, un jeune entrepreneur d'une trentaine d'années, propriétaire avec sa soeur et ses parents de la douzaine de maisons du petit village. «Il a acheté la première maison en 1994, puis la deuxième, puis la cinquième. Il s'est pris au jeu et a collectionné les maisons. Quelques années plus tard, j'en acquiers sept autres», indique Duarte.
En 1997, la famille possède déjà l'ensemble des maisons du village, à l'exception de la petite église dont la croix blanche domine les toits de Sao Gregorio. Commence alors un long travail d'investigation pour redonner à Sao Gregorio son éclat d'antan. «Nous avons pris des photos, filmé, recueilli des témoignages et fait des recherches dans les archives pour rester le plus fidèle possible à l'aspect d'origine du village avant de commencer les travaux de restauration», explique Ana Guimaraes, la soeur de Duarte.
La famille a toutefois tenu à rajouter les éléments de confort qui n'existaient pas à l'époque, l'eau chaude, l'électricité ou la télévision. «Tourisme rural ne veut pas forcément dire absence de confort. Les gens qui viennent ici sont en vacances», souligne Duarte.
C'est tout à fait par hasard que la famille Guimaraes, passionnée par l'histoire rurale de l'Alentejo, achète la première maison de Sao Gregorio au début des années quatre-vingt-dix. «Mon père était dans une 'tasca' (bistro) lorsqu'un monsieur lui propose d'acheter sa maison pour la modique somme de 30.000 escudos (150 euros). Mon père fait tout de suite un chèque et visite la maison ensuite», raconte Duarte Guimaraes, un jeune entrepreneur d'une trentaine d'années, propriétaire avec sa soeur et ses parents de la douzaine de maisons du petit village. «Il a acheté la première maison en 1994, puis la deuxième, puis la cinquième. Il s'est pris au jeu et a collectionné les maisons. Quelques années plus tard, j'en acquiers sept autres», indique Duarte.
En 1997, la famille possède déjà l'ensemble des maisons du village, à l'exception de la petite église dont la croix blanche domine les toits de Sao Gregorio. Commence alors un long travail d'investigation pour redonner à Sao Gregorio son éclat d'antan. «Nous avons pris des photos, filmé, recueilli des témoignages et fait des recherches dans les archives pour rester le plus fidèle possible à l'aspect d'origine du village avant de commencer les travaux de restauration», explique Ana Guimaraes, la soeur de Duarte.
La famille a toutefois tenu à rajouter les éléments de confort qui n'existaient pas à l'époque, l'eau chaude, l'électricité ou la télévision. «Tourisme rural ne veut pas forcément dire absence de confort. Les gens qui viennent ici sont en vacances», souligne Duarte.