Inauguré il y a tout juste un an, le Viaduc de Millau a enregistré quatre millions de passages depuis son ouverture, soit un chiffre d'affaires de 24 M'. Un véritable succès tant pour Eiffage, concessionnaire de ce plus haut viaduc du monde, que pour l'économie de la région.
Cette fréquentation «est supérieure de 20% à ce que nous avions prévu», a indiqué Jean-François Rivière, le président de la Compagnie Eiffage du viaduc de Millau (CEVM) lors d'une conférence de presse. Avant d'ajouter que le chiffre d'affaires enregistré par la CEVM est également «légèrement supérieur aux estimations».
«C'est une réussite sur le plan esthétique. Le viaduc a beaucoup plu», a souligné Jean-François Rivière évoquant un nombre important de demandes d'utilisation de l'ouvrage, notamment pour des démonstrations ou expositions d'entreprises automobiles. «Il y a eu un réel effet A75 (Clermont-Béziers)», a poursuivi le président de la CEVM, parlant d'une alternative pour les automobilistes par rapport à la vallée du Rhône.
Depuis un an, entre 6.500 et 7.000 poids lourds (20,30 EUR/passage) par semaine ont emprunté le viaduc haut de 270 m et d'une longueur de 2.460 m. En revanche, le week-end, le trafic routier est plus axé sur les voitures particulières (4,90 EUR/passage, et 6,50 EUR l'été), selon Eiffage.
Jean-François Rivière a par ailleurs indiqué qu'un projet d'extension des barrières de péage est d'ores et déjà envisagé avec un passage de 14 à 18 voies.
Un impact économqiue
Au-delà de son succès, le viaduc a contribué à l'essor économique de la région le viaduc de Millau. S'il a permis la création de 59 emplois aux barrières de péage et de 70 à 80 postes saisonniers, le président de la Chambre de commerce et d'industrie de Millau-Sud Aveyron, Jérôme Rouve, s'est quant à lui félicité des retombées sur l'activité touristique avec «une hausse de 5 à 30 % du chiffre d'affaires sur douze mois». Et de poursuivre : «En termes qualitatifs, nous avions d'habitude une très bonne activité l'été. Là, nous avons connu un très bon printemps et un excellent automne». «De deux mois, on est passé à six mois d'activité saisonnière», a-t-il enfin conclu.
A noter par enfin qu'un million de visiteurs ont fréquenté l'aire de repos des Cazalous, gérée par Eiffage depuis le début des travaux il y a trois ans, et 300.000 sur la seule année 2005.
«C'est une réussite sur le plan esthétique. Le viaduc a beaucoup plu», a souligné Jean-François Rivière évoquant un nombre important de demandes d'utilisation de l'ouvrage, notamment pour des démonstrations ou expositions d'entreprises automobiles. «Il y a eu un réel effet A75 (Clermont-Béziers)», a poursuivi le président de la CEVM, parlant d'une alternative pour les automobilistes par rapport à la vallée du Rhône.
Depuis un an, entre 6.500 et 7.000 poids lourds (20,30 EUR/passage) par semaine ont emprunté le viaduc haut de 270 m et d'une longueur de 2.460 m. En revanche, le week-end, le trafic routier est plus axé sur les voitures particulières (4,90 EUR/passage, et 6,50 EUR l'été), selon Eiffage.
Jean-François Rivière a par ailleurs indiqué qu'un projet d'extension des barrières de péage est d'ores et déjà envisagé avec un passage de 14 à 18 voies.
Un impact économqiue
Au-delà de son succès, le viaduc a contribué à l'essor économique de la région le viaduc de Millau. S'il a permis la création de 59 emplois aux barrières de péage et de 70 à 80 postes saisonniers, le président de la Chambre de commerce et d'industrie de Millau-Sud Aveyron, Jérôme Rouve, s'est quant à lui félicité des retombées sur l'activité touristique avec «une hausse de 5 à 30 % du chiffre d'affaires sur douze mois». Et de poursuivre : «En termes qualitatifs, nous avions d'habitude une très bonne activité l'été. Là, nous avons connu un très bon printemps et un excellent automne». «De deux mois, on est passé à six mois d'activité saisonnière», a-t-il enfin conclu.
A noter par enfin qu'un million de visiteurs ont fréquenté l'aire de repos des Cazalous, gérée par Eiffage depuis le début des travaux il y a trois ans, et 300.000 sur la seule année 2005.