Les représentants des mal-logés du campement de la rue de la Banque à Paris ont trouvé vendredi un accord avec le ministère du Logement. Des dispositions vont être proposées dans les tout prochains jours.
«On a signé un accord qui porte sur les familles de la rue de la Banque et d'autres», s'est félicité à l'AFP, Jean-Baptiste Eyraud, le porte parole de l'association Droit au Logement (Dal) en parlant entre autres du campement des familles de mal de logés installées depuis début octobre, rue de la Banque à Paris.
Ainsi, le ministère du Logement a promis que les situations de chaque ménage seront traitées «dans le respect des critères objectifs définis par la loi sur le Droit au logement opposable (Dalo) (...) 143 dossiers actuellement réputés complets étant traités en priorité et les premières propositions pouvant être apportées dès les prochains jours». Cependant, «l'Etat ne renouvellera en aucun cas un accord de ce type si de nouveaux campements urbains étaient organisés par les associations signataires ou d'autres associations, dans la mesure où à compter du 1er janvier les procédures de traitement des demandes de logement et d'hébergements prévues par loi Dalo seront en vigueur», a tenu à souligner le ministère.
Depuis le 2 octobre, des familles de mal-logés siégeaient dans la rue de la Banque dans le 2ème arrondissement de Paris.
Ainsi, le ministère du Logement a promis que les situations de chaque ménage seront traitées «dans le respect des critères objectifs définis par la loi sur le Droit au logement opposable (Dalo) (...) 143 dossiers actuellement réputés complets étant traités en priorité et les premières propositions pouvant être apportées dès les prochains jours». Cependant, «l'Etat ne renouvellera en aucun cas un accord de ce type si de nouveaux campements urbains étaient organisés par les associations signataires ou d'autres associations, dans la mesure où à compter du 1er janvier les procédures de traitement des demandes de logement et d'hébergements prévues par loi Dalo seront en vigueur», a tenu à souligner le ministère.
Depuis le 2 octobre, des familles de mal-logés siégeaient dans la rue de la Banque dans le 2ème arrondissement de Paris.