L'agence a voulu éviter le croisement de flux et a créé un axe majeur est-ouest qui traverse l'ensemble de la plaine pour mieux gérer la circulation. L'accès principal a été placé à l'ouest du site. Des accès secondaires ont été ajoutés pour les événements temporaires, la maintenance et l'accès des secours. En périphérie, de grands espaces libres permettent au paysage, largement végétalisé, de se déployer. Les rares arbres existants ont été conservés. Aujourd'hui, "les parcours piétons, sablés, longent ou traversent les entrelacs de parterres colonisés par des prairies, des massifs de vivaces et des arbustes", décrit l'architecte. Les porteurs du projet souhaitaient "une renaturation maximale du site, enrichie par la constitution d'un maillage dense d'îlots de fraîcheur". Après les Jeux, 360 arbres devraient ainsi être plantés. "Les espaces paysagers seront complétés après l'événement, mais le site propose déjà un parcours sportif d'un kilomètre destiné aux usagers locaux", déclare, de son côté, Sébastien Beaucamp.
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L-A F., le 31/01/2024 à 18:18