Paris se transforme et près de 1.000 hectares de son territoire - presque 10% - sont actuellement l'objet de projets d'urbanisme, comme en témoigne l'exposition «Actualités parisiennes II», qui s'est ouverte mercredi au Pavillon de l'Arsenal.
A travers 37 opérations d'aménagement, sur un total de 72 lancées depuis 2001, début de la mandature, l'exposition est une promenade préfigurant l'aspect de la capitale dans les vingt ans.
Des panneaux déroulants très explicites et des maquettes d'urbanisme et d'architecture mettent en lumière un effort important sur les territoires de «la couronne parisienne» comme les projets de la porte des Lilas (25 ha), de la porte de Montreuil (40 ha) ou de la porte de Vanves (64 ha).
Pour Jean-Pierre Caffet, adjoint chargé de l'Urbanisme, «c'est probablement là que se joue en bonne partie l'avenir de Paris». Il s'agit de parvenir à une continuité urbaine avec les communes limitrophes, car, selon lui, si on veut une ville compétitive au plan international, «Paris ne peut rester intra-muros».
«Réhabiliter la couronne, investir les enclaves, continuer les faubourgs, réparer la ville de l'après-guerre» sont les quatre thèmes autour desquels s'articule l'exposition.
Le maire Bertrand Delanoë a fait valoir mercredi, lors de la présentation à la presse, que «la priorité a été de recoudre le tissu urbain entre Paris et la banlieue, avec des chantiers énormes comme la couverture de la Porte des Lilas, livrable en 2006».
A propos du projet-phare de sa mandature, le réaménagement des Halles, Bertrand Delanoë «assume totalement un parti-pris urbain, celui qui est dans le projet de David Mangin», qui a gagné le concours d'architectes.
«Depuis 4 ans et demi, le travail porte sur l'ensemble de la Ville», a-t-il déclaré, faisant valoir qu' «on ne peut pas aménager de la même manière dans une ville qui a un patrimoine très riche que dans une ville où on a plus de souplesse pour toucher à l'acquis».
Parmi les grands projets de la mandature : l'aménagement de Clichy-Batignolles (avec un espace vert de plus de 10 ha) où avait été prévu d'installer le village olympique pour les JO de 2012, le projet Paris Rive gauche dans le 13e arrondissement, qui concerne 130 ha avec 5.000 logements dont 50% de logements sociaux et étudiants...
«Il n'y a pas qu'Haussmann à Paris», a souligné Dominique Alba, directrice du Pavillon de l'Arsenal.
Jean-Pierre Caffet a rappelé que ces opérations s'inscrivaient dans la révision du Plan local d'Urbanisme de Paris.
Des panneaux déroulants très explicites et des maquettes d'urbanisme et d'architecture mettent en lumière un effort important sur les territoires de «la couronne parisienne» comme les projets de la porte des Lilas (25 ha), de la porte de Montreuil (40 ha) ou de la porte de Vanves (64 ha).
Pour Jean-Pierre Caffet, adjoint chargé de l'Urbanisme, «c'est probablement là que se joue en bonne partie l'avenir de Paris». Il s'agit de parvenir à une continuité urbaine avec les communes limitrophes, car, selon lui, si on veut une ville compétitive au plan international, «Paris ne peut rester intra-muros».
«Réhabiliter la couronne, investir les enclaves, continuer les faubourgs, réparer la ville de l'après-guerre» sont les quatre thèmes autour desquels s'articule l'exposition.
Le maire Bertrand Delanoë a fait valoir mercredi, lors de la présentation à la presse, que «la priorité a été de recoudre le tissu urbain entre Paris et la banlieue, avec des chantiers énormes comme la couverture de la Porte des Lilas, livrable en 2006».
A propos du projet-phare de sa mandature, le réaménagement des Halles, Bertrand Delanoë «assume totalement un parti-pris urbain, celui qui est dans le projet de David Mangin», qui a gagné le concours d'architectes.
«Depuis 4 ans et demi, le travail porte sur l'ensemble de la Ville», a-t-il déclaré, faisant valoir qu' «on ne peut pas aménager de la même manière dans une ville qui a un patrimoine très riche que dans une ville où on a plus de souplesse pour toucher à l'acquis».
Parmi les grands projets de la mandature : l'aménagement de Clichy-Batignolles (avec un espace vert de plus de 10 ha) où avait été prévu d'installer le village olympique pour les JO de 2012, le projet Paris Rive gauche dans le 13e arrondissement, qui concerne 130 ha avec 5.000 logements dont 50% de logements sociaux et étudiants...
«Il n'y a pas qu'Haussmann à Paris», a souligné Dominique Alba, directrice du Pavillon de l'Arsenal.
Jean-Pierre Caffet a rappelé que ces opérations s'inscrivaient dans la révision du Plan local d'Urbanisme de Paris.