Pour l'Union nationale de la propriété immobilière, l'augmentation de la déduction fiscale accordée par le Sénat est "une bonne mesure pour l'ancien".
Dominique Grunenwald, président de l'UNPI, s'est déclaré très satisfait par la décision sénatoriale d'augmenter les déduction fiscales de 25% à 40% pour les propriétaires de logements anciens qui les mettraient en location, sous certaines conditions. Le propriétaire doit s'engager pour une période de six ans minimum à louer son appartement sous conditions de ressource du locataire et de plafond du loyer.
Cette augmentation de la déduction fiscale prévue par le dispositif Besson, accompagné depuis peu par la possibilité de profiter de cet avantage en louant un bien immobilier à un ascendant-descendant, devrait " rendre le dispositif plus attractif ", juge le président de l'UNPI. Le taux, porté à 40%, mettrait désormais au même niveau le régime du " micro foncier " et le régime Besson dans l'ancien.
Cette mesure, selon les sénateurs, mais aussi selon le ministre du Logement, devrait permettre de développer l'offre locative privée, alors que les prix de l'ancien en ville sont les plus élevés de ce marché et que les besoins se trouvent surtout pour les primo-accédants.
Cette augmentation de la déduction fiscale prévue par le dispositif Besson, accompagné depuis peu par la possibilité de profiter de cet avantage en louant un bien immobilier à un ascendant-descendant, devrait " rendre le dispositif plus attractif ", juge le président de l'UNPI. Le taux, porté à 40%, mettrait désormais au même niveau le régime du " micro foncier " et le régime Besson dans l'ancien.
Cette mesure, selon les sénateurs, mais aussi selon le ministre du Logement, devrait permettre de développer l'offre locative privée, alors que les prix de l'ancien en ville sont les plus élevés de ce marché et que les besoins se trouvent surtout pour les primo-accédants.