La société foncière Unibail, première du secteur en France, a annoncé avoir enregistré un résultat net de 108 millions d'euros en 2001, en hausse de 17,1% par rapport à celui de 2000.
"Tous les indicateurs sont en progression, malgré un environnement moins porteur", s'est félicité Léon Bressler, président de la foncière, qui prévoit une poursuite des bonnes performances de son groupe.
Les loyers bruts ont représenté en 2001 un total de 456 millions d'euros, en hausse de 27,7% sur l'année précédente, a indiqué M. Bressler qui souligne que son groupe actif dans trois domaines - bureaux, centres commerciaux et congrès-salons - présente une grande visibilité et un niveau de risque très bas.
Le portefeuille immobilier d'Unibail est évalué à 7,33 milliards d'euros dont 4,65 milliards d'euros dans les bureaux, 2,2 milliards d'euros dans les centres commerciaux et 330 millions d'euros dans les centres d'expositions et congrès.
Ces trois pôles sont bien orientés malgré un ralentissement de l'économie, a souligné M. Bressler qui estime que "les angoisses des analystes boursiers concernant le marché parisien de bureaux sont totalement irrationnelles".
Selon lui, "un palier dans la hausse des loyers a été certes atteint mais une reprise est à attendre dès 2004 avec des hausses de valeur locatives moyennes qui pourraient atteindre 10%", a-t-il précisé.
Les loyers bruts ont représenté en 2001 un total de 456 millions d'euros, en hausse de 27,7% sur l'année précédente, a indiqué M. Bressler qui souligne que son groupe actif dans trois domaines - bureaux, centres commerciaux et congrès-salons - présente une grande visibilité et un niveau de risque très bas.
Le portefeuille immobilier d'Unibail est évalué à 7,33 milliards d'euros dont 4,65 milliards d'euros dans les bureaux, 2,2 milliards d'euros dans les centres commerciaux et 330 millions d'euros dans les centres d'expositions et congrès.
Ces trois pôles sont bien orientés malgré un ralentissement de l'économie, a souligné M. Bressler qui estime que "les angoisses des analystes boursiers concernant le marché parisien de bureaux sont totalement irrationnelles".
Selon lui, "un palier dans la hausse des loyers a été certes atteint mais une reprise est à attendre dès 2004 avec des hausses de valeur locatives moyennes qui pourraient atteindre 10%", a-t-il précisé.