Le tableur de Microsoft a effectivement permis aux architectes de mettre au point les modules, comme le détaille Arnaud Doiteau : "Grâce à une formule unique, les processus mathématiques d'Excel nous ont permis d'obtenir une liste de points d'implantation des 100 châssis que compte chaque étage. Les courbes et les modèles étaient donc différents pour chaque niveau. Nous les avons ensuite intégrés à AutoCAD [logiciel de dessin assisté par ordinateur, NDLR] pour dessiner les structures des modules. Et les points d'implantation obtenus virtuellement étaient largement justes dans la réalité, puisqu'ils n'ont été modifiés qu'à 2 cm près par le façadier pour des raisons de mise en œuvre !"

 

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