Avant cette étape, deux mois de travaux ont permis à MNK et Sider de préparer la dalle, et à Hercules Floating concrete et Vicat de construire la coque en béton. A contrario de nombreux bateaux de plaisance, ici, l'équipement n'a pas de coque en cale sèche. "L'option du béton a été faite pour ses capacités de traitement et la mise à sec. Une fois à l'eau, le bâtiment fait sa vie. Il faut néanmoins vérifier et surveiller les micro-fissures", glisse Jean-Philippe Amy.
A Lyon, mise à l'eau réussie pour la structure béton du futur théâtre flottant
Céline Galoffre, le 31/05/2022 à 17:53