L'une des plus grandes difficultés pour mener à bien ce projet d'extension a été la barrière de la langue et la distance entre l'architecte et ses clients. Ces Anglais travaillant en Suisse n'étaient pas très présents physiquement au moment de la mise en forme du projet.

 

Ce qui aurait été un problème à l'époque de la construction de la maison originale, a vite trouvé sa solution à l'ère du web. Grâce à un logiciel sur internet permettant de créer et partager des plans en trois dimensions, et un autre permettant de montrer le parcours de la lumière à travers la maison selon son exposition, José Marcos a pu développer une atmosphère de confiance et une relation basée sur l'échange avec le couple.

 

"Malgré la barrière de la langue, grâce à ce type de logiciels, j'ai pu faire comprendre l'intérêt d'un tel projet aux clients, aussi bien, voire mieux, qu'avec des maquettes et des croquis", nous précise l'architecte.

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