Ce chantier est aussi une aventure humaine forte. Tous les ans environ 200 salariés se croisent. Les plus anciens aident les nouveaux dans le travail mais pas seulement. Ici de nombreuses nationalités se croisent. « En 2015, il y avait 16 nationalités, en 2017 il y en a eu 37 différentes, représentatif de ce qui se passe sur le territoire », note Vincent Nicollet. Et de ses rencontres nait de la solidarité entre eux. « Ils s'aident dans l'apprentissage du français ou dans l'aspect administratif parfois », poursuit-il.
Tous fiers de participer à la restauration de ce patrimoine classé
Stéphanie Odéon, le 18/05/2018 à 11:13